# Bonjouur. ♥
Alors moi je n'écris des beaux poèmes comme vous.. :$ Mais des chansons
Un monde sans fin.
Couplet 1 :
Je suis là dans ce monde,
Commandé par 10.000 lois.
Toute seule et sans foi,
Sans personne avec moi,
Sans écho a ma voix...
Je pose le pied,
Et je capte les ondes,
Pour me propulser vers un nouveau monde !
Refrain :
Un monde sans fin !
Un monde si différent du mien !
Un monde où il y à toi,
Un monde sans malheurs et sans lois !
Un monde sans fin !
Un monde si différent du mien !
Un monde fait pour rêver,
Un monde sans fin libérée !
Couplet 2 :
Et je suis arrivée,
Arrivée justes a tes côtés,
Sans l'avoir demandé,
Et tu m'as emmené pour le visiter...
Ce monde insensé !
Ce monde pour rêver,
Ce monde aussi grand qu'une voie lactée...
Refrain :
Un monde sans fin !
Un monde si différent du mien !
Un monde où il y à toi,
Un monde sans malheurs et sans lois !
Un monde sans fin !
Un monde si différent du mien !
Un monde fait pour rêver,
Un monde sans fin libérée !
Couplet 3 :
Je voudrais rester là,
Au milieu de toutes ces voix,
Demeurer près de toi,
Je sens autour de moi,
L'éternelle joie !
JOIE de croire en moi, de partager ma foi !
JOIE d'ouvrir mon coeur pour la première fois !
Refrain :
Un monde sans fin !
Un monde si différent du mien !
Un monde où il y à toi,
Un monde sans fin libérée !
Un monde sans fin !
Un monde si différent du mien !
Un monde fait pour rêver,
Un monde sans fin libérée !
LIBEREE. ♥
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#1526 Le 10-04-2013 à 17h17
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#1527 Le 10-04-2013 à 17h31
he, c'est super kaalyna ! tes phrases sont tout de même poétiques !
oui pardon, j'avais en core des choses a dire... en tout cas je trouve que la phrase dont tu nous a fait par ait superbe aussi !
a moi alors !
Ce texte, c'est le début de ma rédaction de français (ouf, presque fini !) ce n'est donc pas ce que j'écris habituellement mais je vais quand même vous la montrer :
Spoiler (Cliquez pour afficher)
L’interprète anglais demanda à Ayché de lui compter son histoire. Elle acquiesça en silence avant de commencer : « Le capitaine Ledoux venait d’arriver et il était déjà entrer dans la case de mon mari, Tamango, pour commercer des esclaves venus du centre des terres. Je n’aimais pas les observer en pensant que les esclaves allaient partir sur le navire, dans de très mauvaises conditions. Malheureusement mon mari n’était pas de mon avis et ne paraissait pas s’en soucier. Ni son autre femme, d’ailleurs.
Peu après ils ressortirent. Tamango était ivre et cela me dégoutait de le voir ainsi. Les esclaves furent donc montés sur le navire mais ils étaient trop nombreux. Tamango menaça de tuer une femme. Ledoux ne s’y intéressa pas. Tamango tira et celle-ci tomba raide morte. Ce fut une image insupportable et je ne peux m’empêcher d’avoir un haut-le-cœur en y repensant. Ni lui ni le capitaine ne parurent affectés par ce meurtre. C’était totalement absurde mais mon mari posa son fusil sur un autre esclave. Je reconnu cet homme : il m’avait prédit un avenir meilleure. Je ne sais ce qu’il me prit alors, je savais pourtant qu’il n’était pas bon de contrarier mon mari lorsqu’il était ivre mais mon cœur ne pouvait accepter un nouvel abattement. Je donnai un coup dans l’arme de mon mari qui tira vers le ciel. Mon mari posa alors sa main poisseuse sur moi. Mon cœur s’affola à l’idée qu’il me frappe. Il fit bien pire : il m’offrit au capitaine Ledoux qui affichait un sourire narquois qui m’emporta rapidement sur le bateau.
Cet homme me paraissait aussi cruel et inhumain, et peut-être plus encore, que mon mari qui était facile à bluffer et il était facile de deviner le sort qu’il m’était promis, au côté du capitaine.
Bien plus tard, sur le navire voguant, il vint m’offrir une robe magnifique, j’en fus tout d’abord ravie : Tamango ne m’avais jamais donné ce plaisir, avant de douter des intentions de ce blancs vendeurs d’esclaves…
Lorsque je pus enfin sortir, ce fut pour servir le blanc. Quelle ne fut pas ma surprise en apercevant Tamango ! Le capitaine m’avait confié qu’il était en captivité à bords mais j’avais fermement refusé de le croire, pour garder cet espoir infime qu’il viendrait me chercher pour me ramener. Oui il était venus me chercher ici, mais les blancs l’avait attrapé et comptaient le vendre lui aussi. Et captif, il ne pouvait pas rattraper son erreur impardonnable.
Quand il me vit à son tour, il poussa un cri à me glacer le sang : « Ayché ! » Il était foudroyant et je ne pus m’empêcher de crier d’effroi à mon tour. Oui, j’étais terrifiée par mon mari, cette brute égoïste que mon père m’avais forcé à épousé parce qu’il était riche. Très riche ! Mais… Très égoïste…
Il me menaça alors de MAMA-JUMBO, le fantôme qu’on utilise pour faire parler les femmes. Je me mis à pleurer. Non parce que je craignais ce fantôme dont je savais l’existence fausse, mais à cause de l’immense injustice que mon mari avait envers moi. Tout était de sa faute, tout. Et il osait me rendre responsable ? Je me lamentais sur ma vie maudite, pleine de malheurs et de personnes affreuses…
Jusqu’au soir je pleurai. Ledoux, qui portait très mal son nom, je vous l’assure, avait tout tenté pour me calmer mais rien n’y fit et ses caresses maladroites empiraient les choses. Mais ce soir-là, j’eus une idée : je devais aider Tamango. Lui seul pouvait me sortir de là.
Le landemain j’acourut donc vers lui dès la première heure, en jouant la comédie pour qu’il accepte de me sortir de là. « Tamango, oh, pardonne-moi, je t’en supplie !
- Une lime. Souffla-t-il seulement. »
J’acquiesçais en silence avant de disparaître et de me mettre à chercher. Je n’avais pas beaucoup de chances de trouver une lime dans l’Espérance mais je pouvais toujours espérer, comme son nom l’indiquait…
J’en dénichai une dans une petite cabine servant d’atelier mais qui ressemblait plutôt à un placard à balais… Elle n’était pas très grosse mais devrait faire l’affaire, songeais-je. J’eus la bonne idée de la lui donner en la glissant dans un biscuit. Je m’en allai de ce pas la lui donner et tout ce passa comme prévu : il récupéra rapidement la lime sans que l’on puisse apercevoir notre petit manège.
Lorsque j’entendis le premier cri, je compris immédiatement qu’ils étaient passés à l’action. Je me trouvai avec Ledoux dans sa cabine. Il était de bonne humeur et avait renoncé à m’approcher de trop près et ce contentait de me couver d’un regard charger de tant d’émotions, tel que je n’en avais jamais vu dans ses yeux.
Ce premier cri venait de mon mari. C’était un cri perçant, un cri de guerre qui me fit frissonner. Le signale donné, les exclamations, de fureur pour les uns et de surprise pour les autres, transpercèrent mon cœur d’une flèche empoisonnée ! Il y eut aussi des coups de fusils. J’eus juste le temps d’apercevoir le capitaine sortir précipitamment, son sabre à la main, avant de m’effondrer sur le lit, le visage enfuit dans les draps. Je ne sais donc rien de la suite.
Tamango vint me chercher, ils avaient gagnés ! Lorsque je sus la violence du combat, la joie d’avoir vaincue s’effaça et laissa place au remord, je dus m’accrocher au bord. Nous montâmes alors sur le pont. Et lui s’avança au milieu des esclaves tournant vers son imposante silhouette, un visage d’espoir et je compris peut-être, terrifiée, ce qu’il leur avait promis : les ramener sur leur terre. Mais il avait apparemment omit de leur dire qu’il n’avait jamais dirigé de navire… Où qu’il aille, jamais il n’avait du toucher un gouvernail !
Il vira, trop brusquement et, le bateau fasse au vent, se cabra ! Rien ne peut traduire, ce que je pus ressentir, en cet instant, le bateau chavirant ! Dans un bruit effroyable, ce fut épouvantable, les deux mats fouettèrent l’air, et ce brisèrent, les malheureux, se trouvant au-dessous, s’écroulèrent sur le coup… Les survivants, se ruèrent sur Tamango, nous nous sommes alors réfugiés derrière des tonneaux.
Bientôt, des hommes, vinrent chercher Tamango, ils étaient à plaindre : personne ne pouvait nous ramener sur notre terre, ils étaient bouleversés et j’en eu pitié.
Pour ceux et celles qui connaîtraient Tamango, il fallait réécrire le livre avec le point de vue d'Ayché !
vous voulez la suite ? courage, c'est presque fini !!!
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#1528 Le 10-04-2013 à 17h33
Enkisheena : Merci ♥ J'ai lu ton texte et franchement je le trouve magnifique
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#1530 Le 10-04-2013 à 18h06
Enkisheena: c'est très beau. Je ne connais pas Tamango mais en tout cas ton histoire est très bien tu as du talent. Pour le français, je devais écrire des portraits (un chevalier et un mendiant) les voilà.
Mendiant
Il était chétif et décharné. Avançant dans la brume d'une allure claudicante, la mine farouche. Son visage était ridé, je ne savais quel âge lui donner. Ses cheveux épais et marron terne collaient à son crâne. Dans ses yeux enfoncés, son regard était éteint. Son teint blafard indiquait une longue et dure vie. Plus il approchait, plus je remarquais ses habits crasseux et déchirés. Il était plus que misérable et me faisait pitié. Il s'approcha. Ses joues creuses et flasques et son nez camus me faisaient peur mais il tendit une main calleuse et j'y laissait tomber une petite pièce.
Chevalier
Sur le champs de bataille, les chevaliers se battaient vaillamment mais un un seul retint mon attention. Il était agenouillé près d'un de ses compagnons blessé. Et malgré sa stature robuste et sa mine impassible, il faisait preuve d'une grande tendresse. Il se releva et secoua lentement la tête, signe qu'il n'y avait plus d'espoir. Je le détaillais de la tête au pieds: ses cheveux étaient noir corbeau et flottaient au vent, dans ses yeux froids et bleus presque blancs, brillait une étincelle de colère. De ses lèvres charnues s'échappa un cri de rage. Il s'élança dans la bataille, empoignant son épée de ses larges mains. Je détournais la tête pour ne pas assister au massacre...
Des avis?
Dernière modification par Catalys (Le 10-04-2013 à 18h07)
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#1531 Le 10-04-2013 à 19h23
Voci un poème :
J'ai fait le poème avec les lettres de son prénom en débus de phrase son prénom est auriane :
A :jamais tu sera mon amie
U :n aussi jolie petit gabari que toi ça n'existe pas
R:assure toi je ne susi pas l'amie de laêtitia
I : Ce i est le i de nini et riri
A:u revoir ce mot la je n'aime pas te le dire car j'aime être avec toi
N: e m’abandonne pas
E: t bien je suis sûre qu'on vas être amie pour la vie
Alors ???
Si vous voulez un poème envoyer-moi un message
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#1533 Le 10-04-2013 à 19h51
poème
les fleurs
________
les fleurs pleurs parfois,
malgrès le temps a la fois.
Les petites gouttes,rejette la sueure et sa dure mille mois.
En petite miette de goutelettes.
Mais les fleurs,
parfois son de toute couleurs.
Surtout,elle s'ouvre a l'heure.
Alors ? Des avis ? N'hésitez pas, j'en ai besoin .
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#1534 Le 10-04-2013 à 20h18
Bonjour tout le monde !
ChinoMika : Ta petite citation est très belle ^^ C'est toi qui l'a inventé ? En histoire aussi cette fois ? x)
Cerise : Avis déjà posté page précédente
leonie : C'est plus un hommage qu'un poème. Mais c'est joli quand même.
Catalys : Tes descriptions sont très bonnes Mais si tu fais pareil que moi en Francais, ton professeur te demandera de comparer, comme par exemple :
Ses cheveux étaient plus noir que le plumage d'un corbeau.
Après, ce n'est que mon avis
Enkisheena : C'est super ! Je ne connais pas l'histoire réelle mais je trouve celle - ci superbe ! Peut être qu'à la place que "haut-le-coeur" (ligne 9) tu pourrais mettre "gémissement de dégoût". Mis a part ça, je pense que tu auras une bonne note
Kaahyna : C'est tout simplement Ma-gni-fique ! Les paroles sont très belles et riment ensembles. C'est très réussi !
Merci à ChinoMika, Catalys, Katty, T-miss, Leonie etc pour vos compliments et encouragements
Je vais faire de mon mieux pour continuer mon histoire et faire en sorte que ça vous plaise !
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TsurMugi, une amie un peu spéciale & Nini caméraman ftw.
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#1535 Le 11-04-2013 à 16h46
Léa et le Ranch des mystères !
Chapitre III ajouter !
Spoiler (Cliquez pour afficher)
I
Comme tout les lundi soir Léa devais ranger , laver , dégraisser tout le Ranch avec son amie Lisa. Soudain Lisa appela Léa << Léa !!! Un des cavalier ou moniteur a du embarqué la selle de Lolita !!!! >>
<< Quoi !? La selle de Lolita ?! >>
<< Ouais !!! Ces la seule qui manque ! Je le dirai demain à Joséphine ! >>
<< Ok ! >>
Elles finirent leur labeur et rentrèrent (enfin) chez elle !
Le lendemain au Ranch les filles allèrent voir Joséphine.
<< José. ! Manque ... selle ... lolita ... >>
<< Arrête de parler p'tit naigre et explique toi ! --'' >>
<< On a volé la selle a Lolita !!! >>
<< Je sais je l'ai vu ! >>
Quand tout à coup Emilie débarqua.
<< Mme. je voulais brosser Flêche et quand je suis allez chercher sa brosse bah il y étais pas ! >>
<< Deux vole en une journée ! >> s'écria Joséphine.
Quelque heure plus tard ...
<< Dit Léa tu croit que ses qui qui a volé ? >>
<< J'en sais rien ! >>
Le téléphone de Léa sonna
<< Allo ! Maman ? Ouais ... Ouais ouais ... hum ... Ok ... Quoi ? >>
<< Euh Léa tu peux me dire se qu'elle ta dit ? >>
<< Maman veux que j'aille passer les vacances chez elle car papa bosse ! >>
<< Mais je croyais qu'avec toi et ton père on devais ... >>
<< Je suis vraiment désoler pour le camping équestre ! Mais je suis obligé ... >>
Alicia avais tout entendue "Pourquoi ne pas le dire ..." pansais Alicia. Le lendemain Léa et Lisa furent appeler par Joséphine.
<< Léa pourquoi toi ?! >>
<< Euh moi quoi ? >>
<< Ces toi qui a volé les selles et les brides ! >>
<< Vous avez même pas de preuve ! >>
<< Alicia à donner une photo de toi en train de volé une selle , au policier ! >>
<< Quoi ?! Ces quoi ce délire ! >>
<< Vous êtes renvoyer jusqu'au nouvelle an ! >>
<< 1 ans ! >>
<< Ces cela oui ! >>
Le père de Léa la regardais triste d’apprendre que sa fille oui sa propre fille vole !
Lisa elle, n'était pas renvoyer elle a beau expliquer mille fois à Joséphine que Léa n'y est pour rien, rien n'y fait.
Dans la voiture un mur de musique semblais séparer Léa et son père.
<< Comment a tu pu Léa ?! >>
<< Mais ses pas moi ! Tu ne me croit pas , maman elle, comprendrai ! >>
<< Ta mère n'a rien a faire la dedans, demain tu va a l'aéroport elle viendra te chercher ! Tu part pour Floride ! >>
<< Floride mais ses loin ! Et je parle pas un mot d'anglais ! >>
<< Raison d'apprendre ! >> dit son père énerver.
II
Léa fis sa valise elle pris : son téléphone dernier cri, ses habilles , deux tenues de soirées, son doudou, une photo d'elle et Lisa et son journal intime ! Et elle s'habilla avec son pontalon d'équitation sa chemise et ses botte elle mis son chapeau de cow boy
<< Il me portera chance ! >> dit-elle.
Elle decendit et pris son tiquet de bus son père lui dit au revoir de la main et Léa partie.
Arriver à l'aéroport elle chercha sa mère quand soudain une fille pas plus aute de trois pommes avec ses talon haut et son slime s'avança vers moi.
<< Hey ! Ta mère a pas pu te chercher ces moi Tina ta couz ! >>
<< Ah euh ...>>
<< Tu te souviens hein ? >>
<< Ouais,ouais ! >>
<< Allez viens , ta 14ans ses sa ?! >>
<< Ouais ouais ! Et toi ? ... >>
<< Moi ? J'ai 17 ans ! >>
<< OK ! Tina ! >>
Arriver en Floride.
<< Et Tina tu parle pas anglais ? Et maman ? >>
<< Moi ? Nan je parle français,anglais et espagnol ! Ta mère elle, parle plus trop français elle parle anglais... >>
Je sentit en moi une sorte de force si je ne pouvais même pas parler à maman ... Si je ne pouvais que parler à Tina ? Elle est sympa mais ... mais collante voila collante !
Tina et moi nous marchions sous un soleil de 40° nous arrivâmes on ranch il y avais plus de 100 chevaux , des boxs un prais un potager bref un ranch quoi !
<< Regarde ! >> me dit Tina << Ces chocolate ! >>
<< Chocolate ! Oh mon chocolat à moi !!!! >>
Ensuite nous entrons et Tina me dit :
<< De l'eau, un thé froid ou du coca ? >>
<< Humm ... Un thé froid s'il te plais, merci ^^
quand tout un coup une dame arriva .
III
La dame s'avança vers moi et me fis des tas de bisous, puis elle s'arrêta et dit : << Oh my little darling you've missed me! >>
Je me tourna vers Tina et luis dit << Euh elle adit quoi ??? >>
Tina rigola puis me dit : << elle t'a dit h ma petite chérie tu m'as manqué!>>
alors je répondit << Ah bah merci ^^" ! >>
La dame se tourna vers Tina et lui dit : << Tina she said what? >>
Tina regarda la dame et lui dit : << She told: Ah bah thank you! >>
<< O.k ! >> lui répondit la dame.
Tina se retourna vers moi et se pencha délicatement et me dit : << La dame. C'est ta mère ! >>
J'étais choquer, sur les photos maman ne ressemblais pas à sa sur les photos ! Je montais dans ma chambre en courant.
Maman monta et entra et elle me dit :
<< Léa , I'm sorry ! Je ne parle plus trop French ! >> dit elle avec son accent anglais.
je lui répondit : << I'm sorry but you speak more French >> bien sur j'utilisais google traduction pour m'aider !
Elle sorti de ma chambre façon de dire OK je te pardonne !
A suivre ! ^^
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#1536 Le 11-04-2013 à 16h54
Katty : Génial, Comme Toujours
Sauf que je crois qu'on dit "What did she say ?" au lieu
de "She said what ?" Apres, ce n'est qu'une petite précision ^^
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#1537 Le 11-04-2013 à 16h59
langueur musical
touffeur tropical
le vent surgit
ciel assombrit
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#1538 Le 11-04-2013 à 17h02
Bah moi j'ai regarder sur google traduction puis j'ai mis anglais- français et c'était juste ^^Lolobauls a écrit :
Katty : Génial, Comme Toujours
Sauf que je crois qu'on dit "What did she say ?" au lieu
de "She said what ?" Apres, ce n'est qu'une petite précision ^^
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#1539 Le 11-04-2013 à 17h04
Katty : Apparemment, Google Traduction traduit mot pour mot, il ne
cherche pas à donner un sens a la phrase.
Enfin ... Tu vois ce que je veux dire ? Mais bon, je ne suis pas sure
C'est mon professeur d'Anglais qui me l'a dit ^^
Toufi230 : Tes rimes sont pas males, mais il faudrait
qu'il y est un rapport entre les vers
Parce que la Langueur Musicale et La Touffeur Tropical ...
(D'ailleurs, je ne sais absolument pas ce que veut dire Langueur Musicale ^^')
De plus, je te conseilles de formuler des phrases. Comme par exemple :
Lorsque le vent surgit,
Le ciel s'assombrit.
Voilà Voilà
Dernière modification par Lolobauls (Le 11-04-2013 à 17h06)
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#1540 Le 11-04-2013 à 17h13
Bonjour ^_^ !
Lolobauls : Oui c'est moi qu'il à inventée mais cette fois en Art Plastique x)) ! Sa m'énerve la peinture !
Katty' : Je n'ai pas eu le temps de le lire en entier, mais j'ai lue la moitié, alors je peux pas très bien te die des choses, mais le début est géniale ! Courage !
------------------
Bein, je voulais vous faires partager ma 2e citation que je suis entrain d'invente sur mon clavier 8D :
-♥ L'amour c'est comme une montre, il faut la mettre à l'heure souvent... ♥-
Des avis ? Je sais c'est en peut fait à la Rapidos, mais je vous montrerez une autre façon plus joli(e) plus tard ^.^
-----------------
Bye bye !
Dernière modification par ChinoMika (Le 11-04-2013 à 17h14)
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#1541 Le 11-04-2013 à 17h32
oui c'est très bien !katty2 a écrit :
Léa et le Ranch des mystères !
Chapitre III ajouter !Spoiler (Cliquez pour afficher)
I
Comme tout les lundi soir Léa devais ranger , laver , dégraisser tout le Ranch avec son amie Lisa. Soudain Lisa appela Léa << Léa !!! Un des cavalier ou moniteur a du embarqué la selle de Lolita !!!! >>
<< Quoi !? La selle de Lolita ?! >>
<< Ouais !!! Ces la seule qui manque ! Je le dirai demain à Joséphine ! >>
<< Ok ! >>
Elles finirent leur labeur et rentrèrent (enfin) chez elle !
Le lendemain au Ranch les filles allèrent voir Joséphine.
<< José. ! Manque ... selle ... lolita ... >>
<< Arrête de parler p'tit naigre et explique toi ! --'' >>
<< On a volé la selle a Lolita !!! >>
<< Je sais je l'ai vu ! >>
Quand tout à coup Emilie débarqua.
<< Mme. je voulais brosser Flêche et quand je suis allez chercher sa brosse bah il y étais pas ! >>
<< Deux vole en une journée ! >> s'écria Joséphine.
Quelque heure plus tard ...
<< Dit Léa tu croit que ses qui qui a volé ? >>
<< J'en sais rien ! >>
Le téléphone de Léa sonna
<< Allo ! Maman ? Ouais ... Ouais ouais ... hum ... Ok ... Quoi ? >>
<< Euh Léa tu peux me dire se qu'elle ta dit ? >>
<< Maman veux que j'aille passer les vacances chez elle car papa bosse ! >>
<< Mais je croyais qu'avec toi et ton père on devais ... >>
<< Je suis vraiment désoler pour le camping équestre ! Mais je suis obligé ... >>
Alicia avais tout entendue "Pourquoi ne pas le dire ..." pansais Alicia. Le lendemain Léa et Lisa furent appeler par Joséphine.
<< Léa pourquoi toi ?! >>
<< Euh moi quoi ? >>
<< Ces toi qui a volé les selles et les brides ! >>
<< Vous avez même pas de preuve ! >>
<< Alicia à donner une photo de toi en train de volé une selle , au policier ! >>
<< Quoi ?! Ces quoi ce délire ! >>
<< Vous êtes renvoyer jusqu'au nouvelle an ! >>
<< 1 ans ! >>
<< Ces cela oui ! >>
Le père de Léa la regardais triste d’apprendre que sa fille oui sa propre fille vole !
Lisa elle, n'était pas renvoyer elle a beau expliquer mille fois à Joséphine que Léa n'y est pour rien, rien n'y fait.
Dans la voiture un mur de musique semblais séparer Léa et son père.
<< Comment a tu pu Léa ?! >>
<< Mais ses pas moi ! Tu ne me croit pas , maman elle, comprendrai ! >>
<< Ta mère n'a rien a faire la dedans, demain tu va a l'aéroport elle viendra te chercher ! Tu part pour Floride ! >>
<< Floride mais ses loin ! Et je parle pas un mot d'anglais ! >>
<< Raison d'apprendre ! >> dit son père énerver.
II
Léa fis sa valise elle pris : son téléphone dernier cri, ses habilles , deux tenues de soirées, son doudou, une photo d'elle et Lisa et son journal intime ! Et elle s'habilla avec son pontalon d'équitation sa chemise et ses botte elle mis son chapeau de cow boy
<< Il me portera chance ! >> dit-elle.
Elle decendit et pris son tiquet de bus son père lui dit au revoir de la main et Léa partie.
Arriver à l'aéroport elle chercha sa mère quand soudain une fille pas plus aute de trois pommes avec ses talon haut et son slime s'avança vers moi.
<< Hey ! Ta mère a pas pu te chercher ces moi Tina ta couz ! >>
<< Ah euh ...>>
<< Tu te souviens hein ? >>
<< Ouais,ouais ! >>
<< Allez viens , ta 14ans ses sa ?! >>
<< Ouais ouais ! Et toi ? ... >>
<< Moi ? J'ai 17 ans ! >>
<< OK ! Tina ! >>
Arriver en Floride.
<< Et Tina tu parle pas anglais ? Et maman ? >>
<< Moi ? Nan je parle français,anglais et espagnol ! Ta mère elle, parle plus trop français elle parle anglais... >>
Je sentit en moi une sorte de force si je ne pouvais même pas parler à maman ... Si je ne pouvais que parler à Tina ? Elle est sympa mais ... mais collante voila collante !
Tina et moi nous marchions sous un soleil de 40° nous arrivâmes on ranch il y avais plus de 100 chevaux , des boxs un prais un potager bref un ranch quoi !
<< Regarde ! >> me dit Tina << Ces chocolate ! >>
<< Chocolate ! Oh mon chocolat à moi !!!! >>
Ensuite nous entrons et Tina me dit :
<< De l'eau, un thé froid ou du coca ? >>
<< Humm ... Un thé froid s'il te plais, merci ^^
quand tout un coup une dame arriva .
III
La dame s'avança vers moi et me fis des tas de bisous, puis elle s'arrêta et dit : << Oh my little darling you've missed me! >>
Je me tourna vers Tina et luis dit << Euh elle adit quoi ??? >>
Tina rigola puis me dit : << elle t'a dit h ma petite chérie tu m'as manqué!>>
alors je répondit << Ah bah merci ^^" ! >>
La dame se tourna vers Tina et lui dit : << Tina she said what? >>
Tina regarda la dame et lui dit : << She told: Ah bah thank you! >>
<< O.k ! >> lui répondit la dame.
Tina se retourna vers moi et se pencha délicatement et me dit : << La dame. C'est ta mère ! >>
J'étais choquer, sur les photos maman ne ressemblais pas à sa sur les photos ! Je montais dans ma chambre en courant.
Maman monta et entra et elle me dit :
<< Léa , I'm sorry ! Je ne parle plus trop French ! >> dit elle avec son accent anglais.
je lui répondit : << I'm sorry but you speak more French >> bien sur j'utilisais google traduction pour m'aider !
Elle sorti de ma chambre façon de dire OK je te pardonne !
A suivre ! ^^
Juste, ce n'est pas logique t'as mis 2 fois : "sur les photos" ! une erreur d'étourderie sans doute...
Et je crois bien que c'est pas "she said what" puisque le sujet dois être inversé en anglais (comme en bon français, d'ailleurs !).
Bon voilà ma rédaction en entier, avec petit corrigement (merci !) pour haut-le-coeur ! Seul petit problème, j'aurais du la finir en cours et comme je l'ai rendue au cours d'après je vais avoir mois un a ma note, bouhou !
Spoiler (Cliquez pour afficher)
L’interprète anglais demanda à Ayché de lui compter son histoire. Elle acquiesça en silence avant de commencer : « Le capitaine Ledoux venait d’arriver et il était déjà entré dans la case de mon mari, Tamango, pour commercer des esclaves venus du centre des terres. Je n’aimais pas les observer en pensant que les esclaves allaient partir sur le navire, dans de très mauvaises conditions. Malheureusement mon mari n’était pas de mon avis et ne paraissait pas s’en soucier. Ni son autre femme, d’ailleurs.
Peu après ils ressortirent. Tamango était ivre et cela me dégoutait de le voir ainsi. Les esclaves furent donc montés sur le navire mais ils étaient trop nombreux. Tamango menaça de tuer une femme. Ledoux ne s’y intéressa pas. Tamango tira et celle-ci tomba raide morte. Ce fut une image insupportable et je ne peux m’empêcher d’avoir un cri d’horreur en y repensant. Ni lui ni le capitaine ne parurent affectés par ce meurtre. C’était totalement absurde mais mon mari posa son fusil sur un autre esclave. Je reconnu cet homme : il m’avait prédit un avenir meilleure. Je ne sais ce qu’il me prit alors, je savais pourtant qu’il n’était pas bon de contrarier mon mari lorsqu’il était ivre mais mon cœur ne pouvait accepter un nouveau crime. Je donnai un coup dans l’arme de mon mari qui tira vers le ciel. Il posa alors sa main poisseuse sur moi. Mon cœur s’affola à l’idée qu’il me frappe. Il fit bien pire : il m’offrit au capitaine Ledoux qui affichait un sourire narquois et qui m’emporta rapidement sur le bateau. Cet homme me paraissait aussi cruel et inhumain, et peut-être plus encore, que mon mari qui était facile à berner, et il était aisé de deviner le sort qu’il m’était promis, au côté du capitaine.
Bien plus tard, sur le navire voguant, il vint m’offrir une robe magnifique, j’en fus tout d’abord ravie : Tamango ne m’avais jamais donné ce plaisir, avant de douter des intentions de ce blancs vendeurs d’esclaves et renommé, qui plus est !
Lorsque je pus enfin sortir, ce fut pour servir le blanc. Quelle ne fut pas ma surprise en apercevant Tamango ! Le capitaine m’avait confié qu’il était en captivité à bords mais j’avais fermement refusé de le croire, pour garder cet espoir infime qu’il viendrait me chercher pour me ramener. Oui il était venu me récupérer ici, mais les négriers l’avaient attrapé et comptaient le vendre lui aussi. Et captif, il ne pouvait pas rattraper son erreur impardonnable.
Quand il me vit à son tour, il poussa un cri à me glacer le sang : « Ayché ! » Il était foudroyant et je ne pus m’empêcher de crier d’effroi à mon tour. Oui, j’étais terrifiée par mon mari, cette brute égoïste que mon père m’avais forcé à épousé parce qu’il était riche. Très riche ! Mais… Très égoïste…
Il me menaça alors de MAMA-JUMBO, le fantôme qu’on utilise pour faire parler les femmes. Je me mis à pleurer. Non parce que je craignais ce fantôme dont je savais l’existence fausse, mais à cause de l’immense injustice que mon mari avait envers moi. Tout était de sa faute, tout. Et il osait me rendre responsable ? Je me lamentais sur ma vie maudite, pleine de malheurs et de personnes affreuses…
Jusqu’au soir je pleurai. Ledoux, qui portait très mal son nom, je vous l’assure, avait tout tenté pour me calmer mais rien n’y fit et ses caresses maladroites empiraient les choses. Mais ce soir-là, j’eus une idée : je devais aider Tamango. Lui seul pouvait me sortir de là.
Le lendemain j’accourus donc vers lui dès la première heure, en jouant la comédie pour qu’il accepte de me sortir de là. « Tamango, oh, pardonne-moi, je t’en supplie !
- Une lime. Souffla-t-il seulement. »
J’acquiesçais en silence avant de disparaître et de me mettre à chercher. Je n’avais pas beaucoup de chances de trouver une lime dans l’Espérance mais je pouvais toujours espérer, comme son nom l’indiquait…
J’en dénichai une dans une petite cabine servant d’atelier mais qui ressemblait plutôt à un placard à balais… Elle n’est pas très grosse mais devrait faire l’affaire, songeais-je. J’eus la bonne idée de la lui donner en la glissant dans un biscuit. Je m’en allai de ce pas la lui donner et tout ce passa comme prévu : il récupéra rapidement la lime sans que l’on puisse apercevoir notre petit manège.
Lorsque j’entendis le premier cri, je compris immédiatement qu’ils étaient passés à l’action. Je me trouvai avec Ledoux dans sa cabine. Il était de bonne humeur et avait renoncé à m’approcher de trop près et se contentait de me couver d’un regard chargé de tant d’émotions, tel que je n’en avais jamais vu dans ses yeux.
Ce premier cri venait de mon mari. C’était un cri perçant, un cri de guerre qui me fit frissonner. Le signale donné, les exclamations, de fureur pour les uns et de surprise pour les autres, transpercèrent mon cœur d’une flèche empoisonnée ! Il y eut aussi des coups de fusils. J’eus juste le temps d’apercevoir le capitaine sortir précipitamment, son sabre à la main, avant de m’effondrer sur le lit, le visage enfouit dans les draps. Je ne sais donc rien de ce qu’il se passa ensuite.
Tamango vint me chercher, ils avaient gagné ! Lorsque je sus la violence du combat, la joie d’avoir vaincu s’effaça et laissa place au remord. Nous montâmes alors sur le pont. Il s’avança au milieu des esclaves qui tournaient vers son imposante silhouette, un visage d’espoir et je compris peut-être, terrifiée, ce qu’il leur avait promis : les ramener sur leur terre. Mais il avait apparemment omit de leur dire qu’il n’avait jamais dirigé de navire… Où qu’il aille, jamais il n’avait du toucher un gouvernail !
Il vira, trop brusquement et, le bateau fasse au vent, se cabra ! Rien ne peut traduire, ce que je pus ressentir, en cet instant, le bateau chavirant ! Dans un bruit effroyable, ce fut épouvantable, les deux mats fouettèrent l’air, et se brisèrent, les malheureux, se trouvant au-dessous, s’écroulèrent sur le coup… Les survivants se ruèrent sur Tamango, nous nous réfugiâmes alors derrière des tonneaux.
Bientôt, des hommes vinrent chercher Tamango, ils étaient à plaindre : personne ne pouvait nous ramener sur notre terre, et ils en étaient bouleversés et j’en eu pitié. Mais Tamango refusa de les aider, j’en fus de nouveau dégoutée… Il avait volé des vivres pendant la nuit, au milieu des hommes ivres.
Les jours passèrent et un matin, Tamango me prit par la main et m’emmena au milieu des hommes. Il déclara qu’un esprit lui était venu en songe et qu’il lui avait indiqué comment faire : il fallait prendre les deux chaloupes et voguer vers une terre. C’était insensé mais c’était le seul espoir des esclaves. Ils acquiescèrent, descendirent les chaloupes et hissèrent la nourriture dessus. Il n’y avait pas assez de place. Les plus affaiblis donc restèrent sur le navire. Je suivis à contrecœur mon mari sur l’une d’elle, la plus légère. Nous partîmes vers l’immensité de la mer, sans savoir où aller. La seconde chaloupe restait en arrière. Une vague bondit alors sur celle-ci. Sous le choc et pleine d’eau, elle coula. Ceux qui parvinrent à nager jusqu’à notre embarcation furent noyés par les rameurs, je détournai les yeux, horrifiée par cette cruauté. Je rencontrai alors le regard entendu d’une autre femme, seule survivante à part moi. Sa vision suffit à rendre un peu d’humanité dans mon cœur et mon esprit. Notre chaloupe revint au bateau. Il y avait bien peu de survivants : seulement Tamango, cette femme et deux autres hommes ainsi que moi avaient survécus à tous ces tourments. Un homme était affaibli, l’autre blessé. Je réprimai un haut-le-cœur devant se spectacle immonde.
Quelques jours passèrent. Les deux hommes étaient morts et l’on manquait de nourriture. L’imposante silhouette de Tamango n’était plus qu’un petit corps affaiblie. Personne ne parlait. Mon mari n’aimait pas beaucoup cette femme sans scrupule que je protégeais et qui faisait de même avec moi en retour.
Malheureusement, elle tomba malade. Je fis ce que je pu pour la sauver. Rien n’y fit. Elle mourut bientôt. Mon âme ne put supporter cela et je m’évanouis sur le sol. C’est d’ailleurs, je crois, ce qui me sauva : mon corps n’avait plus besoin d’autant de nourriture et je survis.
Heureusement vous êtes alors arrivés, vous, les anglais. Mon amie, si elle l’avait vraiment voulu, aurait tenu bon jusque-là, mais elle n’avait plus aucun espoir et s’est laissé mourir pour me laisser un peu plus de nourriture. Pour ce qu’il en est de Tamango, je n’en ai aucune idée, peut-être est-il sauf, quelque part ? Je ne veux pas le savoir… » L’interprète resta estomaqué quelque temps devant le récit de la jeune nègre.
Ayché partie en Angleterre, sur la goélette, elle eut un petit travail de servante pas très cher payé mais suffisant pour élever sa jeune fille : Amina, nom de son amie morte sur le navire, pour sa liberté…
voilà ! ça vous plaît ?
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#1542 Le 11-04-2013 à 17h35
Trop bien !!!! Mais juste un conseil tu devrais sauter des ligne car sinon sa fait trop "surchargé" mais sinon ces bien !Enkisheena a écrit :
oui c'est très bien !katty2 a écrit :
Léa et le Ranch des mystères !
Chapitre III ajouter !Spoiler (Cliquez pour afficher)
I
Comme tout les lundi soir Léa devais ranger , laver , dégraisser tout le Ranch avec son amie Lisa. Soudain Lisa appela Léa << Léa !!! Un des cavalier ou moniteur a du embarqué la selle de Lolita !!!! >>
<< Quoi !? La selle de Lolita ?! >>
<< Ouais !!! Ces la seule qui manque ! Je le dirai demain à Joséphine ! >>
<< Ok ! >>
Elles finirent leur labeur et rentrèrent (enfin) chez elle !
Le lendemain au Ranch les filles allèrent voir Joséphine.
<< José. ! Manque ... selle ... lolita ... >>
<< Arrête de parler p'tit naigre et explique toi ! --'' >>
<< On a volé la selle a Lolita !!! >>
<< Je sais je l'ai vu ! >>
Quand tout à coup Emilie débarqua.
<< Mme. je voulais brosser Flêche et quand je suis allez chercher sa brosse bah il y étais pas ! >>
<< Deux vole en une journée ! >> s'écria Joséphine.
Quelque heure plus tard ...
<< Dit Léa tu croit que ses qui qui a volé ? >>
<< J'en sais rien ! >>
Le téléphone de Léa sonna
<< Allo ! Maman ? Ouais ... Ouais ouais ... hum ... Ok ... Quoi ? >>
<< Euh Léa tu peux me dire se qu'elle ta dit ? >>
<< Maman veux que j'aille passer les vacances chez elle car papa bosse ! >>
<< Mais je croyais qu'avec toi et ton père on devais ... >>
<< Je suis vraiment désoler pour le camping équestre ! Mais je suis obligé ... >>
Alicia avais tout entendue "Pourquoi ne pas le dire ..." pansais Alicia. Le lendemain Léa et Lisa furent appeler par Joséphine.
<< Léa pourquoi toi ?! >>
<< Euh moi quoi ? >>
<< Ces toi qui a volé les selles et les brides ! >>
<< Vous avez même pas de preuve ! >>
<< Alicia à donner une photo de toi en train de volé une selle , au policier ! >>
<< Quoi ?! Ces quoi ce délire ! >>
<< Vous êtes renvoyer jusqu'au nouvelle an ! >>
<< 1 ans ! >>
<< Ces cela oui ! >>
Le père de Léa la regardais triste d’apprendre que sa fille oui sa propre fille vole !
Lisa elle, n'était pas renvoyer elle a beau expliquer mille fois à Joséphine que Léa n'y est pour rien, rien n'y fait.
Dans la voiture un mur de musique semblais séparer Léa et son père.
<< Comment a tu pu Léa ?! >>
<< Mais ses pas moi ! Tu ne me croit pas , maman elle, comprendrai ! >>
<< Ta mère n'a rien a faire la dedans, demain tu va a l'aéroport elle viendra te chercher ! Tu part pour Floride ! >>
<< Floride mais ses loin ! Et je parle pas un mot d'anglais ! >>
<< Raison d'apprendre ! >> dit son père énerver.
II
Léa fis sa valise elle pris : son téléphone dernier cri, ses habilles , deux tenues de soirées, son doudou, une photo d'elle et Lisa et son journal intime ! Et elle s'habilla avec son pontalon d'équitation sa chemise et ses botte elle mis son chapeau de cow boy
<< Il me portera chance ! >> dit-elle.
Elle decendit et pris son tiquet de bus son père lui dit au revoir de la main et Léa partie.
Arriver à l'aéroport elle chercha sa mère quand soudain une fille pas plus aute de trois pommes avec ses talon haut et son slime s'avança vers moi.
<< Hey ! Ta mère a pas pu te chercher ces moi Tina ta couz ! >>
<< Ah euh ...>>
<< Tu te souviens hein ? >>
<< Ouais,ouais ! >>
<< Allez viens , ta 14ans ses sa ?! >>
<< Ouais ouais ! Et toi ? ... >>
<< Moi ? J'ai 17 ans ! >>
<< OK ! Tina ! >>
Arriver en Floride.
<< Et Tina tu parle pas anglais ? Et maman ? >>
<< Moi ? Nan je parle français,anglais et espagnol ! Ta mère elle, parle plus trop français elle parle anglais... >>
Je sentit en moi une sorte de force si je ne pouvais même pas parler à maman ... Si je ne pouvais que parler à Tina ? Elle est sympa mais ... mais collante voila collante !
Tina et moi nous marchions sous un soleil de 40° nous arrivâmes on ranch il y avais plus de 100 chevaux , des boxs un prais un potager bref un ranch quoi !
<< Regarde ! >> me dit Tina << Ces chocolate ! >>
<< Chocolate ! Oh mon chocolat à moi !!!! >>
Ensuite nous entrons et Tina me dit :
<< De l'eau, un thé froid ou du coca ? >>
<< Humm ... Un thé froid s'il te plais, merci ^^
quand tout un coup une dame arriva .
III
La dame s'avança vers moi et me fis des tas de bisous, puis elle s'arrêta et dit : << Oh my little darling you've missed me! >>
Je me tourna vers Tina et luis dit << Euh elle adit quoi ??? >>
Tina rigola puis me dit : << elle t'a dit h ma petite chérie tu m'as manqué!>>
alors je répondit << Ah bah merci ^^" ! >>
La dame se tourna vers Tina et lui dit : << Tina she said what? >>
Tina regarda la dame et lui dit : << She told: Ah bah thank you! >>
<< O.k ! >> lui répondit la dame.
Tina se retourna vers moi et se pencha délicatement et me dit : << La dame. C'est ta mère ! >>
J'étais choquer, sur les photos maman ne ressemblais pas à sa sur les photos ! Je montais dans ma chambre en courant.
Maman monta et entra et elle me dit :
<< Léa , I'm sorry ! Je ne parle plus trop French ! >> dit elle avec son accent anglais.
je lui répondit : << I'm sorry but you speak more French >> bien sur j'utilisais google traduction pour m'aider !
Elle sorti de ma chambre façon de dire OK je te pardonne !
A suivre ! ^^
Juste, ce n'est pas logique t'as mis 2 fois : "sur les photos" ! une erreur d'étourderie sans doute...
Et je crois bien que c'est pas "she said what" puisque le sujet dois être inversé en anglais (comme en bon français, d'ailleurs !).
Bon voilà ma rédaction en entier, avec petit corrigement (merci !) pour haut-le-coeur ! Seul petit problème, j'aurais du la finir en cours et comme je l'ai rendue au cours d'après je vais avoir mois un a ma note, bouhou !
Spoiler (Cliquez pour afficher)
L’interprète anglais demanda à Ayché de lui compter son histoire. Elle acquiesça en silence avant de commencer : « Le capitaine Ledoux venait d’arriver et il était déjà entré dans la case de mon mari, Tamango, pour commercer des esclaves venus du centre des terres. Je n’aimais pas les observer en pensant que les esclaves allaient partir sur le navire, dans de très mauvaises conditions. Malheureusement mon mari n’était pas de mon avis et ne paraissait pas s’en soucier. Ni son autre femme, d’ailleurs.
Peu après ils ressortirent. Tamango était ivre et cela me dégoutait de le voir ainsi. Les esclaves furent donc montés sur le navire mais ils étaient trop nombreux. Tamango menaça de tuer une femme. Ledoux ne s’y intéressa pas. Tamango tira et celle-ci tomba raide morte. Ce fut une image insupportable et je ne peux m’empêcher d’avoir un cri d’horreur en y repensant. Ni lui ni le capitaine ne parurent affectés par ce meurtre. C’était totalement absurde mais mon mari posa son fusil sur un autre esclave. Je reconnu cet homme : il m’avait prédit un avenir meilleure. Je ne sais ce qu’il me prit alors, je savais pourtant qu’il n’était pas bon de contrarier mon mari lorsqu’il était ivre mais mon cœur ne pouvait accepter un nouveau crime. Je donnai un coup dans l’arme de mon mari qui tira vers le ciel. Il posa alors sa main poisseuse sur moi. Mon cœur s’affola à l’idée qu’il me frappe. Il fit bien pire : il m’offrit au capitaine Ledoux qui affichait un sourire narquois et qui m’emporta rapidement sur le bateau. Cet homme me paraissait aussi cruel et inhumain, et peut-être plus encore, que mon mari qui était facile à berner, et il était aisé de deviner le sort qu’il m’était promis, au côté du capitaine.
Bien plus tard, sur le navire voguant, il vint m’offrir une robe magnifique, j’en fus tout d’abord ravie : Tamango ne m’avais jamais donné ce plaisir, avant de douter des intentions de ce blancs vendeurs d’esclaves et renommé, qui plus est !
Lorsque je pus enfin sortir, ce fut pour servir le blanc. Quelle ne fut pas ma surprise en apercevant Tamango ! Le capitaine m’avait confié qu’il était en captivité à bords mais j’avais fermement refusé de le croire, pour garder cet espoir infime qu’il viendrait me chercher pour me ramener. Oui il était venu me récupérer ici, mais les négriers l’avaient attrapé et comptaient le vendre lui aussi. Et captif, il ne pouvait pas rattraper son erreur impardonnable.
Quand il me vit à son tour, il poussa un cri à me glacer le sang : « Ayché ! » Il était foudroyant et je ne pus m’empêcher de crier d’effroi à mon tour. Oui, j’étais terrifiée par mon mari, cette brute égoïste que mon père m’avais forcé à épousé parce qu’il était riche. Très riche ! Mais… Très égoïste…
Il me menaça alors de MAMA-JUMBO, le fantôme qu’on utilise pour faire parler les femmes. Je me mis à pleurer. Non parce que je craignais ce fantôme dont je savais l’existence fausse, mais à cause de l’immense injustice que mon mari avait envers moi. Tout était de sa faute, tout. Et il osait me rendre responsable ? Je me lamentais sur ma vie maudite, pleine de malheurs et de personnes affreuses…
Jusqu’au soir je pleurai. Ledoux, qui portait très mal son nom, je vous l’assure, avait tout tenté pour me calmer mais rien n’y fit et ses caresses maladroites empiraient les choses. Mais ce soir-là, j’eus une idée : je devais aider Tamango. Lui seul pouvait me sortir de là.
Le lendemain j’accourus donc vers lui dès la première heure, en jouant la comédie pour qu’il accepte de me sortir de là. « Tamango, oh, pardonne-moi, je t’en supplie !
- Une lime. Souffla-t-il seulement. »
J’acquiesçais en silence avant de disparaître et de me mettre à chercher. Je n’avais pas beaucoup de chances de trouver une lime dans l’Espérance mais je pouvais toujours espérer, comme son nom l’indiquait…
J’en dénichai une dans une petite cabine servant d’atelier mais qui ressemblait plutôt à un placard à balais… Elle n’est pas très grosse mais devrait faire l’affaire, songeais-je. J’eus la bonne idée de la lui donner en la glissant dans un biscuit. Je m’en allai de ce pas la lui donner et tout ce passa comme prévu : il récupéra rapidement la lime sans que l’on puisse apercevoir notre petit manège.
Lorsque j’entendis le premier cri, je compris immédiatement qu’ils étaient passés à l’action. Je me trouvai avec Ledoux dans sa cabine. Il était de bonne humeur et avait renoncé à m’approcher de trop près et se contentait de me couver d’un regard chargé de tant d’émotions, tel que je n’en avais jamais vu dans ses yeux.
Ce premier cri venait de mon mari. C’était un cri perçant, un cri de guerre qui me fit frissonner. Le signale donné, les exclamations, de fureur pour les uns et de surprise pour les autres, transpercèrent mon cœur d’une flèche empoisonnée ! Il y eut aussi des coups de fusils. J’eus juste le temps d’apercevoir le capitaine sortir précipitamment, son sabre à la main, avant de m’effondrer sur le lit, le visage enfouit dans les draps. Je ne sais donc rien de ce qu’il se passa ensuite.
Tamango vint me chercher, ils avaient gagné ! Lorsque je sus la violence du combat, la joie d’avoir vaincu s’effaça et laissa place au remord. Nous montâmes alors sur le pont. Il s’avança au milieu des esclaves qui tournaient vers son imposante silhouette, un visage d’espoir et je compris peut-être, terrifiée, ce qu’il leur avait promis : les ramener sur leur terre. Mais il avait apparemment omit de leur dire qu’il n’avait jamais dirigé de navire… Où qu’il aille, jamais il n’avait du toucher un gouvernail !
Il vira, trop brusquement et, le bateau fasse au vent, se cabra ! Rien ne peut traduire, ce que je pus ressentir, en cet instant, le bateau chavirant ! Dans un bruit effroyable, ce fut épouvantable, les deux mats fouettèrent l’air, et se brisèrent, les malheureux, se trouvant au-dessous, s’écroulèrent sur le coup… Les survivants se ruèrent sur Tamango, nous nous réfugiâmes alors derrière des tonneaux.
Bientôt, des hommes vinrent chercher Tamango, ils étaient à plaindre : personne ne pouvait nous ramener sur notre terre, et ils en étaient bouleversés et j’en eu pitié. Mais Tamango refusa de les aider, j’en fus de nouveau dégoutée… Il avait volé des vivres pendant la nuit, au milieu des hommes ivres.
Les jours passèrent et un matin, Tamango me prit par la main et m’emmena au milieu des hommes. Il déclara qu’un esprit lui était venu en songe et qu’il lui avait indiqué comment faire : il fallait prendre les deux chaloupes et voguer vers une terre. C’était insensé mais c’était le seul espoir des esclaves. Ils acquiescèrent, descendirent les chaloupes et hissèrent la nourriture dessus. Il n’y avait pas assez de place. Les plus affaiblis donc restèrent sur le navire. Je suivis à contrecœur mon mari sur l’une d’elle, la plus légère. Nous partîmes vers l’immensité de la mer, sans savoir où aller. La seconde chaloupe restait en arrière. Une vague bondit alors sur celle-ci. Sous le choc et pleine d’eau, elle coula. Ceux qui parvinrent à nager jusqu’à notre embarcation furent noyés par les rameurs, je détournai les yeux, horrifiée par cette cruauté. Je rencontrai alors le regard entendu d’une autre femme, seule survivante à part moi. Sa vision suffit à rendre un peu d’humanité dans mon cœur et mon esprit. Notre chaloupe revint au bateau. Il y avait bien peu de survivants : seulement Tamango, cette femme et deux autres hommes ainsi que moi avaient survécus à tous ces tourments. Un homme était affaibli, l’autre blessé. Je réprimai un haut-le-cœur devant se spectacle immonde.
Quelques jours passèrent. Les deux hommes étaient morts et l’on manquait de nourriture. L’imposante silhouette de Tamango n’était plus qu’un petit corps affaiblie. Personne ne parlait. Mon mari n’aimait pas beaucoup cette femme sans scrupule que je protégeais et qui faisait de même avec moi en retour.
Malheureusement, elle tomba malade. Je fis ce que je pu pour la sauver. Rien n’y fit. Elle mourut bientôt. Mon âme ne put supporter cela et je m’évanouis sur le sol. C’est d’ailleurs, je crois, ce qui me sauva : mon corps n’avait plus besoin d’autant de nourriture et je survis.
Heureusement vous êtes alors arrivés, vous, les anglais. Mon amie, si elle l’avait vraiment voulu, aurait tenu bon jusque-là, mais elle n’avait plus aucun espoir et s’est laissé mourir pour me laisser un peu plus de nourriture. Pour ce qu’il en est de Tamango, je n’en ai aucune idée, peut-être est-il sauf, quelque part ? Je ne veux pas le savoir… » L’interprète resta estomaqué quelque temps devant le récit de la jeune nègre.
Ayché partie en Angleterre, sur la goélette, elle eut un petit travail de servante pas très cher payé mais suffisant pour élever sa jeune fille : Amina, nom de son amie morte sur le navire, pour sa liberté…
voilà ! ça vous plaît ?
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#1543 Le 11-04-2013 à 18h08
ok merci pour le conseil, en fait j'en aurai sauté mais sur word, lorsqu'on va a la ligne, il met automatiquement un espace entre, c'est pour ça qu'il n'y en a pas plus... ! si vous voulez, voici une rédaction que j'ai fait il y a un moment déjà, pour le français !
Spoiler (Cliquez pour afficher)
Cette photographie-là, soigneusement collée sur du contreplaqué, envahissait tout un mur et représentait un lac, d’ailleurs assez banal, pas tellement pittoresque en fin de compte.
Sur le lac, on voyait une barque, perdue au loin, minuscule.
Je mis longtemps à me rendre à l’évidence : la barque, de semaine en semaine (semblait) grandir.
Je farfouillais dans la lourde malle de bois massif, souvenir de mes défunts grands-parents, où ma mère m’avait proposais de fouiller pour dénicher quoi que ce soit qui m’intéresserait ; quand je mis la main sur un magnifique bijou en forme de lune argentée. Probablement un faux, compte tenue de la maigre richesse de son ancienne propriétaire. Pourtant, quelque chose en lui m’attirais et cette sensation étrange que j’avais ressentie en admirant la photographie, représentant un lac sur lequel une mystérieuse barque flânait tout en se rapprochant peu à peu de moi, me revient.
Je jetai un œil par la petite fenêtre de ma chambre. Dehors, le ciel s’assombrissait et les premières étoiles étincelantes dans l’immensité noire apparaissaient les unes après les autres. C’est alors que l’envie de sentir l’air frais sur mon visage et de courir libre tel le vent dans le silence du soir me prit et, sans me couvrir plus, je dévalai les escaliers sans bruits pour ne pas alerter mes parents. Toujours avec le collier au creux de ma main, le métal froid du pendentif contre ma paume.
Arrivée dans la grande salle, je me dirigeais vers la porte pour sortir lorsque mon regard s’arrêta sur la grande image dans son cadre de verre protecteur. Je stoppai net ma course pour dévisager pour la énième fois le majestueux contour pourtant si simple du lac, de la barque et… de la lune dans le ciel sombre que remarquai pour la première fois ! Je me rendis alors compte de sa ressemblance avec le pendentif trouvé dans la grosse malle. J’observai attentivement les deux lunes. J’avais l’impression qu’elles étaient des copies, conformes en tous points, Je ne trouvai aucunes différences.
Alors je pris le collier pour le déposer contre la photographie en superposant les lunes. Aucune ne dépassait de l’autre. Soudain je crus sentir une légère vibration au bout de mes doigts, elle se propagea alors le long de mon corps sans que je ne puisse réagir : la panique m’avait pétrifiée ! Je me sentis perdre pieds dans un affolement total !
Je fini par me convaincre d’ouvrir les yeux malgré mon angoisse et mon mal de tête.
Je me trouvais sur les rives d’un lac où se reflétaient les milliers d’étoiles de la voie lactée qui se trouvait au-dessus de ma tête.
Devant ce paysage si paisible les battements de mon cœur ralentirent enfin et mes légers tremblements cessèrent.
C’est alors que je crus apercevoir au loin une ombre sur le lac !
L’effroi me traversa comme une flèche gelée, me glaçant jusqu’aux os : cette ombre qui filait vers moi n’était autre que la barque de la photo… en encore plus grosse. Je dus me rendre à l’évidence, ce j’avais redoutée était arrivée : je me trouvais dans la photographie !
A mesure que la barque se rapprochait, j’aperçus une silhouette dans la barque. J’étais effarouchée par son arrivée mais c’est ce moment-là que choisis la silhouette pour me faire un petit signe de la main amicale, j’en fus une nouvelle foi pétrifiée mais plutôt d’étonnement ! Je fus encore plus surprise lorsque qu’elle cria mon nom d’une voie de femme : « LINA ! » Je scrutai plus précisément l’ombre à présent assez proche de moi.
« Qui est là ? demandai-je en tremblant d’une petite voie.
- Ah oui, j’oubliai, tu ne te rappelle surement plus de moi, tu étais si petite à l’époque ! Je me présente : Angelina, et, oui, je suis ta grand-mère ! répondit la grosse femme d’une voie forte.
- Angelina ? Mais, qu’est-ce qu’on fait là ? rétorquai-je plus confiante malgré mon étonnement.
- Eh bien moi, je fais une petite balade sur ce magnifique lac ! Et toi ? plaisanta Angelina. »
Je n’avais pas appréciée sont sans de l’humour quelque peu déplacé et attendis donc quelques secondes avant de répondre :
« Une balade en pleine nuit, qu’elle idée originale !
- Hum, oui, en effet c’est curieux ! fit-elle comme si elle s’en rendait compte pour la première foi.
- Te serais-tu perdu ? la questionnai-je avec mon plus grand sérieux alors que je savais parfaitement que ce n'était pas le cas »
Elle semblait très surprise par ma question et me regarda curieusement :
« Vous les humains, vous êtes tellement bête parfois ! lâcha-t-elle sans réfléchir. » C’est alors qu’elle se rendit compte de son erreur et voulut se reprendre, sans trouver ses mots. Alors son visage chaleureux et bienveillant, peut-être un peu trop même, se changea en un visage plein de colère et effrayant. Tout portait à croire que j’avais mis le doigt sur le côté très étrange de cette personne que n’était surement pas -je l’avais deviné- ma grand-mère. Seulement je ne savais pas ce que c’était…
Soudain, elle émit une sorte de grognement sourd Je reculai d'un pas, apeuré. La femme se mis à pousser un cri aigu et elle bondit vers moi. J’étais absolument horrifié et moi-même me mis à hurler à plein poumon. A bout de souffle je m'écroulais quand j’aperçus du coin de l’œil le regard vitreux et fiévreux de la grosse femme qui arrivait sur moi et dans un hoquet de peur je m’évanouis tout en arrachant une petite touffe d’herbe…
Je me redressai en sursaut, j’étais trempée de sueur et totalement perdue ! Je regardai autour de moi. Je me trouvais dans la salle d’entrée et j’étais installée dans le confortable fauteuil, en face de la photographie. Je fus parfaitement rassurée de me retrouver dans ma charmante petite maison ! Je soupirai. Avais-je donc rêvée ? Surement ! Et puis… Heureusement ! J’avais dus m’endormir, exténuée, alors que je m’apprêtais à aller dehors.
A présent bien joyeuse et éveillée, je me redressai pour me diriger dans ma chambre et me dit que, à présent, j’avais un très bon sujet pour ma rédaction de français…
Ce fut un geste très simple mais que je ne saurais expliquer, alors que je rentrai dans ma chambre, j’observai ma main. Peut-être parce qu’elle me faisait souffrir ? Car dans celle-ci se trouvait quelques brins d’herbes froissés.
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#1544 Le 11-04-2013 à 19h44
Bravo pour vos histoire c est magnifique! Et Enkisheena je m apelle Lina comme la fille de ton histoire alors j ai cru que c etait moi er j ai eu peur quand la grand-mere lui a sauté dessus!!
Il était une fois, une souris nommée Bleuette qui rêvait de devenir princesse. Vous pourrez lui procurer un grand bonheur en lui envoyant des défis ( non-misés ) pour réalisé son rêve ! Elle vous en remercie d'avance !
╔══╗
╚╗╔╝. (/_/) ce serait cool qu'on puisse
╔╝(¯`v´¯) (°x°). Avoir des lapins sur cromimi
╚══`.¸ Cromimi♥. _/(")(")_ ceux qui sont d'accord avec
Moi copient ce message
Hors ligne
#1545 Le 11-04-2013 à 19h56
tu est ma meilleure amie
_____________________
Léonie tu est ma meilleure,
amie a jamais tu sera
dans mon coeur.
tu est si gentil,
si jolie.
le mot aurevoir me fait peur
car j'aime réster dans ton coeur
tu est ma nini ,ma meilleur
a chaque fois que je te vois.
mon coeur est remplis de joie .
je t'aime mon coeur de nini:coeur:
Alors ? Des avis ? N'hésitez pas, j'en ai besoin .
Hors ligne
#1546 Le 11-04-2013 à 21h04
Bonjour tout le monde !
Chapitre XII et XIII ajoutés !
Les rêves étranges de Camélia
Je vous souhaite une bonne lecture
Spoiler (Cliquez pour afficher)
Présentation des personnages
L'héroïne de l'histoire est une jeune fille de 13 ans nommé Camélia. Cette jeune fille était tout à fait ordinaire. Elle avait de courts cheveux bruns, de grands yeux verts et une fine petite bouche. Elle était en classe de 5e, elle avait 2 amies. Voici leur fiche de déscription :
Sa meilleure amie
Prénom : Aurélia
Nom : Poulain
Date d'anniversaire : 11 mai.
Age : 12 ans
Famille : Père : François ; Mère : Caroline ; Petite soeur : Pauline
Caractère : Sèrieuse dans son travail, drôle, se fait facilement des amis. Adore prendre soin d'elle. S'énerve vite.
Caractère physique : Cheveux longs, rousse, Tâches de rousseurs sur les joues, petits yeux bleus.
Son amie d'enfance
Prénom : Karen
Nom : Thomas
Date d'anniversaire : 29 mars
Age : 13 ans
Famille : Père : Hugo ; Mère : Valérie ; Grand frère : Bryce ; Grande soeur : Ophélie.
Caractère : Flemmarde, drôle, Garçon manquée, casse-cou.
CHAPITRE I
Une dispute interminalble...
Avant les vacances, Camélia, Karen et Aurélia étaient parties faire les boutiques. Elles passèrent dans leurs magasins préférées. Aurélia et Karen flashèrent toutes les 2 sur un T-shirt flashy avec ecrit dessus "Be Happy <3 !". Mais, Bien sûr, Aurélia ne voulait pas que Karen achète lemême qu'elle. Karen non plus, mais il n'y avait pas d'autres coloris en vente dans le magasin. Finalement, aucunes des 2 ne l'achetèrent, pour éviter de provoquer d'autres disputes inutiles.
Après les vacances, Les 3 filles se retrouvèrent. Ce jour là, il faisait très beau et chaud, enfin, c'était plutot normal pour une journée d'été. Elles étaient très heureuses de se retrouver. Mais Aurélia regarda Karen et vit Le T-Shirt "Be Happy <3 !" sur Karen. Celle-ci regarda Aurélia et vit le même T-shirt sur elle. Aurélia commença à s'énerver et à piquer une crise sur Karen. Celle-ci explosa de colère à son tour. Une longue dispute s'entraîna sous les yeux de Camélia. Elle voyait ses 2 meilleures amies se disputer, se crier dessus... Elle esssaya à plusieurs reprises de les séparées mais sans aucun résultats. Enfin, la dispute se termina, mais le résultat n'était pas très bien. Aurélia avait décidé de totalement ignorer Karen. Celle-ci faisait de même. La journée n'était plus aussi gaie qu'avant. Les 2 filles ne pouvaient même plus se regarder sans soupirer ou grogner. Cette situation embêta énormément Camélia. Elle se sentait coupable de cette dispute, c'est elle qui avait eu l'idée de les emmener faire du Shopping ensemble... Il fallait absolument qu'elle trouve une solution. La journée passa très lentement pour Camélia, tout le long de la journée, elle avait vu ses 2 amies se lancer des pics et presque s'insulter. Cette situation devenait trop lourde pour elle. Elle décida de les interrompre et de dire ce qu'elle pensait. Camélia s'élança entre Karen et Aurélia, celles-ci s'arrêterent un instant. Leur amie s'apprétait à leur dire ses pensées, mais les 2 énnemies reprirent de plus belle. Voici ce qu'elle entendait :
"Karen ! Comment as - tu osé acheter le même T - Shirt que moi !?
- Tait toi ! Ce T - Shirt est à tout le monde d'ailleurs ! Cria Karen, rouge de colère.
- On avait dit qu'aucune de nous 2 ne l'achèteraient ! Coupa Aurélia.
- Tu me dis ça ? Toi !!? Je te signale que tu le portes aussi !
- Raaaaaah ! ET PUIS DE TOUTE FACON, JE TE DETESTE ! Hurla Aurélia.
- TANT PIS, JE M'EN FICHE ! JE SUIS SURE QUE CAMELIA ME PREFERE A TOI ! lança Karen.
- Ah, tu le prends comme ça, eh bien vas-y. Demande - lui ! grogna Aurélia.
- Camélia, tu préfères qui ? Aurélia ou moi ?"
Camélia se sentit gênée. Ses 2 meilleures amies la regardait, attendant une réponse. Elle rougit et hésita à leur dire qu'elle ne préférait aucune des 2. Mais elle se doutait bien qu'elle allait refuser ce genre de réponses.
Que va - t - elle faire ? Réponse : Bientot ...
CHAPITRE II
Questions...Questions... Encore des questions !
Camélia restait là, à regarder chacune à son tour ses 2 amies. Heureusement, la sonnerie retentit, pour une fois, Camélia fut heureuse de l'entendre. Elle fit son sourire le plus ridicule à ses amies et fila se ranger. Elle venait d'échapper à cette sale position. Mais elle savait que demain, elles reposeront cette question atroce. Camélia se disait qu'il vallait mieux être en Français pendant une heure plutot que de répondre a la question. Une fois entrée dans la salle, Camélia ne cessait de penser à ce qu'elle leur dirait. "Camélia, tu préfères qui ? Aurélia ou moi ?", ça résonnait des milliers de fois dans sa tête, comme un ouragan de mots. Cette phrase résonnait dans sa tête comme un écho infini. Mais une nouvelle phrase vint la déranger : "Camélia ? Je t'ai posé une question !" Elle se frotta les yeux et vit son professeur pencher au dessus d'elle, en train de la regarder. Aucun mots ne sortirent de la bouche de la jeune fille. Le professeur pencha la tête, toujours en train d'attendre. Mais Camélia ne savait pas quelle était la question. Il était hors de questions de lui dire, ce serai trop ridicule et les autres ne feront que ricanner. Elle ne disait toujours rien, dans sa tête la question du professeur vint se mêler a l'autre question. Le professeur lui dit : "Caméééééliaaaa ? Ca ne va pas ?". Toutes ces questions s'embrouillèrent dans sa tête. Tout ce mélange rendit Camélia complètement folle, elle se mit à murmurer " Questions... ?". Le professeur la regarda bizarrement et lui répondit " Bien sur que c'est un question ! Tu t'attendais à quoi ?". "Camélia, tu préfères qui ? Aurélia ou moi ? Ca ne va pas ? Tu t'attendais à quoi ? Camélia ? Caméééééliaaa ?..." Tous ces mots passaient, s'entrechoquaient et repassaient dans sa tête. Elle en avait assez de toutes ces questions, elle cria et s'écroula de sa chaise. Elle ne voyait plus rien de ce qu'il se passait, mais elle continuait d'entendre la voix des autres élèves. Elle entendit des tas de cris d'horreur et de paniques des élèves, les bruits de pas venant vers elle, ... Elle se réveilla dans une grande forêt avec des tas de couleurs partout. Des feuilles roses, oranges, vertes, bleues, ... Elle entendait des insectes et des grenouilles croasser. Elle regarda tout autour d'elle. C'était très bruyant, mais elle ne voyait personne. Elle s'aventura dans la grande forêt. Elle entendit une petite voix aigu a travers les buissons :
"Coucou toi ! Hihihihihihi ! ricanna l'inconnu.
- Qui êtes vous ? Ou êtes vous ?
- Je me montrerai que si tu réponds à ma question !
- C'est pas vrai... Encore une question ... soupira Camélia.
- Es tu prêtes à me dire ce qui te tracasses en ce moment ?
- Mais. Je ne vous connais même pas ! Montrez vous !
- Bon d'accord, mais promets moi de me le dire après !
- Oui ... Répondit la jeune fille.
- Me voilà !"
Un petit homme, mais vraiment tout petit ( il faisait 3 têtes de moins qu'elle ) sortit des buissons. Il avait de grosses joues toutes ronde et de grands yeux noirs. Il portait une sallopette rouge qui lui était beaucoup trop grande. Camélia pouffa de rire en voyant l'inconnu sortir de sa cachette. L'inconnu leva les yeux au ciel en l'entendant rire. Le nain s'appelait Caleb. Elle lui raconta son problème avec ses amies...
CHAPITRE III
Un rêve étrange ...
Le nain réfléchit un instant, enfin, Camélia pensait qu'il faisait semblant. Il soupira à plusieurs reprises, elle ne pouvait s'empêcher de rire en le regardant. Il fit plusieurs fois "NON" de la tête. Camélia cessa de rire, elle commença à s'impatienter. Tout ça pour qu'il lui dise "Je sais pas comment résoudre ton problème, par contre la reine pourra t'aider.". Camélia accepta et suivit Caleb a travers les arbres. Cet endroit était tellement bizarre ... Les feuilles des arbres avaient des formes géométriques, les nuages ressemblaient a de la barbe à papa... Elle tourna la tête et vit une rivière en chocolat. Soudain, ils entendirent un bruit de tonnerre. Le nain se mit a grimacer en regardant Camélia et lui dit :
" Humm Camélia, ça, c'est mauvais signes...
- De quoi ? s'interrogea Camélia.
- Bah, ce bruit ! Ca sent la pluie violette... Cette pluie te brule des que tu la touche !
- N'importe quoi ! Tout le monde sait que la pluie ça mouille ! Ricanna Camélia."
Caleb lui jeta un regard noir pour lui faire signe de se taire. Ce regard lui glaça le sang, "c'était plus le petit nain rigolo de tout à l'heure !" pensa - t - elle. Le nain la reregarda avec son regard terrifiant, il avait lu dans ses pensées ? Le bruit de tonnerre reprit. Le nain grimaça de nouveau. Même si Camélia ne croyait pas vraiment à cette pluie qui brûle, elle ne pouvait s'empêcher d'en avoir peur. Elle n'osait même plus penser, ce nain l'effrayait. Elle repensa à l'histoire du T - Shirt, le nain se retourna brusquement et lui dit : "Ca, tu ne me l'as pas dit ! Tu n'as pas confiance en moi c'est ça ?" Elle lui répondit par un sourire. Le lutin grogna et continua son chemin. D'un coup il couina. Camélia lui demanda pourquoi et il lui expliqua que la pluie commençait à tomber. Elle tendit les main et sentit une toute petite brulure sur sa paume de main. Aïe ! De plus en plus de gouttes tombaient, une, puis deux, puis trois, puis quatre puis une dizaine de gouttes violettes commencèrent à tomber des nuages roses. Les gouttes formaient des petits trous partout sur son Débardeur. Elle se mit à râler, son débardeur tout neuf en plus ! Le lutin lui redemanda à travers la pensée de Camélia "Tu n'as pas confiance en moi c'est ça ?" Elle serra ses paupières, que lui répondre ? Quand elle rouvrit les yeux,la forêt avait disparu, Caleb aussi. Elle mit un petit instant à reconnaitre l'infirmerie du Collège. L'infirmière se pencha au dessus d'elle et lui dit :
" Tu t'es enfin réveillée ! Tu as dormi un long moment tu sais !
- Euuuh, hein ? Quoi ? fit Camélia, a moitié réveillée.
- Dis moi, qu'est - il arrivée ? Décris moi ce qu'il s'est passé... dis l'infirmière."
Sans hésiter, elle lui dévoila toute son aventure avec ses amies. Mais elle ne raconta rien de son aventure dans la forêt avec Caleb. L'infirmière lui dit qu'elle avait parler de nombreuses fois en dormant. Mais, heureusement, elle n'avait absolument rien compris. Quand Camélia sortit, Karen et Aurélia la serrèrent dans leurs bras. Elles avaient tout écouté derrière la porte. Karen et Aurélia s'excusèrent, elles ne pensaient pas que cette histoire allait autant la gêner. Elles sortirent ensemble du couloir. Devant la porte du couloir, presque tous les collégiens l'attendaient. En la voyant sortir, ils se jettèrent tous ensemble pour la serrer dans leur bras. Camélia pleura, elle se sentait aimée. Ils sortirent tous dehors, elle sentit du froid dans son dos, elle regarda le derriere de son Débardeur et vit des tas de petits trous partout. "Mais alors, cela voudrait dire que, ce monde existe réellement ?" se dit elle dans sa tête...
CHAPITRE IV
Un monde nouveau...
Tout le monde l'accompagnèrent jusque devant chez elle. Camélia était impressionnée par cette vague de gens qui la suivait partout. Elle entra, balança son sac dans sa chambre et mangea son goûter. Elle repensait au monde de ses rêves, il semblait si ... réel ... Il était impossible pour la jeune fille de s'imaginer qu'il existait vraiment, et pourtant, les trous de son Débardeur le prouvait. Cela voudrait dire que, Caleb, Les feuilles multicolores, les arbres aux feuilles triangulaires et la pluie viollette existait réellement. Camélia avait à la fois hâte et peur d'y retourner. Elle avait hâte de revoir Caleb mais avait peur de subir d'autres conditions météo étranges ... Elle se dit d'arreter d'y penser car, peut être qu'elle n'y retournera jamais. Elle rêvassait devant son pain au chocolat, perdue dans ses pensées, quand elle entendit des ricannements derrière la porte. Elle se leva et jetta un coup d'oeil par la fenêtre. Elle vit les 3 pestes de sa classe ricanné en la regardant. "Que pouvaient - elles bien dire ?" pensa Camélia. Elle ouvrit la porte et leur demanda. Elles s'arrêterent de rire un instant, elles regardèrent Camélia dans les yeux et reprirent de plus bel. La jeune fille n'était pas sotte, elle avait bien compris que le groupe se moquait d'elle en cachette. C'était les seules a ne pas l'avoir raccompagnée. Elle continua de fixer la plus grande d'entre elles. C'était surement aussi la plus bête des 3. La colère de Camélia ne cessait de grandir, à tel point que son visage était tout rouge. En voyant la tête de Camélia, les 3 idiotes éclatèrent de rire. Elle ne pouvait plus supporté d'entendre leur rire. Elle s'énerva et gifla la plus grande, Stéphanie. Le bruit de la gifle a arrêté tout les ricannements. Camélia se rendit compte de son erreur et fila dans sa maison. Elle n'avait pas les clés de chez elle, elle mit tout son poid sur la porte. Elle sentait le groupe s'énerver, frapper sur la porte. Elle entendait les cris et injures derrière la porte. Camélia ne cessait de murmurer "Tout va bien se passer ... Tout va bien se passer ...". Les 3 filles s'arrêterent un instant, elles se déplacèrent vers la fenêtre et firent de nombreux gestes, pour la mettre en garde. Cette fois, Camélia était seule. Elle se mit à pleurer, dans quel situation c'était - elle mise là ? Elle se jeta sur le canapé en soupirant, décidemment, pour Camélia, cette journée a été atroce ( mis a part le fait d'avoir découvert ce monde etrange ). Fatiguée par tant de problèmes et évènements étranges, elle s'endormie sur le sofa. Elle se réveilla immédiatement dans la forêt avec Caleb. Elle était exactement au même endroit qu'au moment où elle l'avait quitté. Caleb l'a regarda et lui fit un petit sourire. Il avait l'air beaucoup sympathique comme ça.
"Au moins, dans ce monde, il n'y a aucun soucis. Pensa Camélia.
- Oooh, tu te trompes Camélia, il y a des soucis partout, même ici !
- Aah oui, c'est vrai, il lit dans mes pensées... soupira - t - elle.
- Oui, nous aussi nous avons un problème. Enfin, je te raconterai plus tard... murmura le nain a la salopette rouge.
- Lui te le racontera plus tard, mais moi, je te le racontes maintenant ! s'exclama un chat."
Le chat était fin, son pelage était de la couleur du feu, ses yeux étaient très grands, verts et brillaient tellement que Camélia pouvait se voir dedans. Le chat repris :
"Je m'excuses pour cette intrusion, je m'appelle Loupion.
- Ahahha ! Loupion ! C'est toi ! Viens là mon "BOUBOULE" !
- Arrete de m'appeler BOUBOULE ! ( il donne un coup de patte à Caleb )
- Allez, montre ta vraie apparence maintenant, avant que Camélia te croie vraiment comme ça."
Le chat leva les yeux au ciel pour montrer son aggacement et se transforma. Il était exactement pareil qu'avant, il était juste 3 fois plus gros. Camélia compris pourquoi Caleb le surnommais ainsi. Loupion râla un peu et expliqua à Camélia "Je ne suis pas comme le chat de 'Alice au pays des merveilles' ! Je ne suis pas invisible, mais je peux me transformer en tout ce que j'ai vu. Comme, tiens regarde !" A ces mots, il se métamorphosa en Camélia. Il était exactement pareil qu'elle, mis à part la voix, c'était une très bonne copie. Il se retransforma en Loupion. Caleb se moqua :
"BOUBOULE a toujours aimé copié sur les autres, depuis tout p'tit ! Hihihihihihihihihi !
- Pfff, même pas vrai..."
Vont - t - ils trouvé la demeure de la Reine ? A suivre ...
CHAPITRE V
Que d'aventures !
Le ciel commença à s'assombrir. Les nuages devinrent violets et le ciel devint rouge. Le soir tombait déjà ? se demandait Camélia. Les 2 amis de Camélia se mirent à soupirer et gromeler en voyant le ciel se foncé... Ceux ci expliquèrent à Camélia l'arriver du vent glacial. Ils approchaient du royaume de la reine. Ce vent ( ou plutot, cette tornade ) était un des moyens de protection du château. Plus ils avançaient, plus le bruit de la tornade s'approchait. Ils levèrent les yeux et virent la tornade, d'une couleur bleue métallique, s'approcher a toute vitesse. Loupion resta calme et se transforma en lui, mais 3 fois plus grand. Il faisait maintenant la taille de la tornade. Il ouvrit grand la bouche et "mangea" la tornade. Les 2 autres restèrent bouche bée, Quand le chat redevint normal. Il se mit à voltiger dans tous les sens. De haut en bas, de gauche a droite ... La tornade gigotait dans son estomac. Camélia ne pouvait s'empêcher de rire en voyant ce spectacle. Le gros chat cracha la tornade. Celle ci se dissipa et retira toutes les feuilles des arbres. Sans toutes ces feuilles colorées, le monde paraissait beaucoup plus triste. Les 2 êtres soupirèrent. Comme si, ce genre d'évènnement était habituel. Plus ils approchaient du royaume, moins Caleb et Loupion étaient bavard. "Une tornade, de la pluie violette... Et pourquoi pas de la neige coupante !" Rala Camélia. "Tu dois etre forte en devinette toi !" s'exclama Caleb. Camélia s'inquiéta un peu, Le nain insinuait l'apparition de neige tranchante ? Ils aperçurent enfin le château de la reine. Mais, tout autour, de la neige tombait. Etait-ce de la neige coupante ? Ils continuèrent d'avancer. Soudain, juste devant le rideau de neige, un frisson parcourut Loupion. La neige ? Il en avait horreur ! Il recula et laissa ses amis continuer leur chemin. Caleb, avait lui aussi peur de cette neige, mais il ne voulait pas laisser Camélia seule. Le lutin laissa Camélia passer devant. Celle-ci ne savait pas que la neige tranchait, elle pensait que Caleb plaisentait. Sans réfléchir, elle se lança sous le rideau de neige et hurla de douleur. Au moindre contact avec la neige, une coupure se formait. Apres avoir traversé le rideau de neige, ses bras étaient coupés et saignaient de partout. Avec le froid, ses coupures lui brulaient atrocement la peau. Caleb lui, prit une grande feuille et passa les rideau sans encombres. Camélia rageait. "Quel lâche ! se disait - t - elle. Il ne m'avait même pas prévenue ! Et lui, il prend sa petite feuille pour se protégé ! Rââââââââh !" Mais elle se contenta de pousser un petit grognement. Ils franchirent la porte et virent une grande salle toute blanche. Il y avait de nombreuses plantes, une grande table de verre aussi longue que la salle. La lumière claire du soleil se posait délicatement sur le carrelage brillant. La pièce était immense, les 2 amis avançaient silencieusement dans l'immense demeure de la reine. Ils entendirent de grands claquement, c'était des pas préssés sur les escaliers. Ils tournèrent la tête et virent une colombe arriver a toute vitesse. Elle portait une lance, un bouclier doré et une chemise grise, argenté. Elle fixa Camélia avec ses grands yeux noirs et leur dit :
"Halte ! Que faites vous ici ? Sans permission !
- Eh bien ... Nous sommes venus... venus voir la reine ! hésita Camélia.
- M'avez vous entendu ? Il vous faut une permission, P-E-R-M-I-S-S-I-O-N !
- Nous avons besoin de son aide ! dit Caleb, s'avançant vers la colombe.
- Elle n'est pas apte a vous aidez ... *Snif* pleurnicha la colombe."
Le petit oiseau les guida vers la chambre de la reine. Celle - ci était allongée sur son lit, aussi grand qu'un lit pour 3 personnes. Elle avait une longue chevelure blonde, de petits yeux verts et une bouche fine. Ce qui interpella le plus Camélia, c'était son teint extremement pale. Ils approchèrent doucement du lit, pour ne pas la réveiller. Soudain, quelques mots sortirent de sa bouche "Marchez normalement, je ne dors pas !". Milénia, la colombe, leur expliqua que la reine était tombée malade brusquement il y a quelques jours. Camélia regardait sans cesse la jeune femme, allongée sur son immense lit. Soudain, ils entendirent des pas, des pas lourds et rapides. Effrayés Milénia, Caleb et Camélia fermèrent la porte de la chambre, mirent une chaise pour la coincer et partirent se réfugier dans le placard de la reine. Bizarrement, il ne faisait pas sombre à l'intèrieur. Camélia contemplait les diffèrentes robes de la reine. Il y en avait de toutes sortes, des bleus, des roses, des blanches, des vertes... Celle que Camélia préférait était beige avec de nombreux rubans, des roses biens rouges et de la fine dentelle. Elle ressemblait a une robe de contes de fée. Mais un bruit de porte l'interrompit. L'ennemi tentait d'ouvrir la porte. Le coeur de Camélia se mit a battre a une vitesse fénoménale. Elle tenta de jeter un coup d'oeil a travers les portes du placard mais Caleb la retint et mit sa main devant ses yeux.
Camélia les rouvrit, elle se retrouvait écrasée a coté du canapé. Elle se mit a raler "C'est vraiment le moment !! Roooooh !" Elle regarda l'heure, l'horloge affichait 18 heures. Camélia enfouit sa tête dans le canapé, elle avait dormi presque 3 heures ...
CHAPITRE VI
La honte ...
Camélia resta ainsi une bonne dizaine de minutes. Puis elle décida enfin de sortir de son sofa. Elle se leva, encore un peu endormie. Cette longue sieste l'avait rendue complètement "molle". 20 : 30, sa mère rentre et elles mangent immédiatement. Après le repas, Camélia fit mine d'être fatiguée et partit se coucher. Elle enfila son pyjama et se jeta sur son lit. Elle entendit sa mère crier "Et ton brossage de dents ? Camélia ! File te les brosser !" Elle ronchonna et obéit a sa mère. Elle retourna dans son lit, cette fois, elle avait la bouche bien fraîche, sa mère ne pourra plus rien dire. Celle - ci recria "Camélia ! Démêle tes cheveux avant de dormir, tu pêneras a te coiffer demain sinon !" Elle grogna et fit ce que son "maitre" lui dit. Cette fois, avant d'y retourner, elle cria "C'est bon cette fois ?" Elle n'obtenut aucune réponse, elle prit cela comme un "oui". Pour la derniere fois, Camélia retournit se coucher. Elle avait hate de retourner dans le monde magique. Elle fermit les yeux, attendant que le sommeil l'emporte. Mais elle ne se doutait pas, que celui ci mettrait longtemps a venir ... Elle se tourna et se retourna sans cesse sous la couette. Elle entendit le bruit de la porte de la chambre de sa mère se fermer. Elle eut une idée, elle partit immédiatement en bas et pris de nombreux médicaments. Elle les amena dans sa chambre. Elle retourna se coucher, il ne fallait surtout pas qu'elle les lâche en s'endormant. La nuit était longue, très longue ... Elle regardait sans cesse son réveil, celui - ci affichait = 00:00, 00:01, 00:02 ... Enfin, Camélia s'endormit. Elle retourna dans le monde, toujours dans le placard de la malade. Mélinia, Caleb et elle entendirent la chaise se fracasser sur le sol. Ils se penchèrent discrètement et aperçurent un énorme corbeau. Les yeux de Milénia brillèrent, elle venait de tomber sous le charme de l'ennemi. Caleb eut le réflexe de la retirer de la fente du placard.Les 2 amis observaient le gros oiseau noir s'approcher de la reine. Il monta sur le lit et contempla le visage de la reine, endormie. Milénia sortit du placard et défendit la reine, malgré le coup de foudre qu'elle venait d'avoir pour lui. Caleb fit de même, Camélia avait peur de le faire, elle sortit timidement et le menaça aussi. Le corbeau les regarda un à un et ricanna :
"Vouc croyez vraiment que j'ai peur de vous ? Vous n'avez aucune armes !
- Si ! Voici lamienne ! Fit Milénia, en prenant le lisseur brûlant de la reine.
- Et moi de même ! Cria Caleb, en sortant de la neige tranchante qu'il avait récupéré.
- Et moi... (Camélia fouilla ses poches, regarda autour d'elle) j'ai... ça !"
Elle sortit son compas de sa poche et mit la mine pointue bien en avant pour effrayer le corbeau. Celui - ci observa attentivement l'arme de la jeune fille, il l'a trouvait étrange. C'était la premiere fois qu'il voyait un objet comme ça... Le corbeau s'inclina et partit. Milénia le regarda, triste de ne pas avoir pu réellement lui parler. La belle colombe baissa les yeux. Neanmoins, elle était plutot fiere de ce qu'elle avait fait. Ils retournèrent voir la reine, qui ne s'était pas rendue compte. Camélia récupèra les médicaments et les donna a la reine. Celle - ci en mangeant quelques un. Camélia plissa les yeux, espèrant que les médicaments la guérissent. Elle les rouvrit et vit l'heure sur son réveil, celui ci afficha 7:10. Camélia se leva a toute vitesse, dans 20 minutes elle devra etre a l'arret de bus, elle était toute décoiffée, en pyjama et mourrait de faim. Elle se pécipita dans la cuisine et goba un pein au chocolat. Elle courut enfilé un T-Shirt se brossa les dents beaucoup moins que 3 minutes. Passa quelques coups de brosses, prit un chouchou et se fit un petit chignon. Elle fit son lit le plus rapidement possible et laissa quelques plits. 7:35, elle courut à l'arret de bus. Elle arriva pile au moment ou le bus arrivait. Elle grimpa, tout le monde la fixait étrangement, avec de gros yeux. Qu'avaient - ils ? A suivre ...
CHAPITRE VII
La Honte ... (2)
Dans le bus, les collègiens la regardaient en pouffant et en se murmurant des choses. Camélia leur jettait des tas de petits coups d'oeils, gênée, elle se demandait pourquoi tout le monde la regardait. Elle réussit à entendre un des murmures : "On peut dire qu'elle a le chic pour se faire remarquer !" Camélia connaissait cette voix. Stéphanie, c'était elle qui avait murmuré ces horribles mots. Enervée par toutes ces moqueries indiscretes, Camélia hurla "Mais qu'avez vous à la fin!? Je ne vous ai rien demandé ! Et toi, Stéphanie, tâche d'être plus discrète quand tu parles !" . Le regard des élèves fut encore plus étonné. Elle serra les poings, ses joues étaient brûlantes de colère, son regard semblait presque effrayant. Le reste du trajet, le bus était silencieux, on entendait aucune voix, aucun craquements ou fermetures de sacs, rien. Le silence total ! Soudain, Camélia fut stréssée, elle avait oubliée son sac de sport. Elle regarda ses vêtements, étaient - ils bien pour faire du sport ? Son T-shirt semblait plutot bien, elle regarda son pantalon et vit... pleins de petits coeurs dessus. Quel pantalon venait - elle d'enfiler là ? Elle resta comme ça, a regardé ces petits coeurs multicolores partout sur son pantalon. Elle le reconnut enfin ... c'était ... son pantalon de pyjama ! Elle regarda les élèves en cachant son pantalon. Elle venait enfin de comprendre ce regard étrange venant d'eux. Il était hors de questions d'aller en cours comme ça ! Mais elle était bien obligée, elle commença a s'imaginer les problèmes que causera le fait de sécher les cours. Ses parents seraient fou de rage, ses professeurs seraient eux aussi en colère, ses amies seront déçues et lui feront peut etre la tête et enfin, Stéphanie se ferai un malin plaisir de lancer une horrible rumeur sur elle en son absence. Bref, rien de positif lui vint en tête. Il faudra qu'elle se balade et aille en cours avec cet horrible "chose". Elle descendit du bus, et arriva dans la cour. Les regards indiscrets des autres la suivaient. Ses amies lui firent un superbe sourire. Et, comme les aures, ouvrirent de grands yeux. Elles n'attendirent pas leur amie, mais vinrent elles même à sa rencontre. Karen lui dit :
"Mais, qu'est ce que tu fais ? Tu sais qu'on a sport aujourd'hui ! Et ... c'est quoi ce PANTALON ??!!
- Karen a raison, c'est quoi ce truc carrément ridicule ? fit Aurélia.
- Arretez s'il vous plait ! Ce matin je me suis levée en retard et j'ai oublié de prendre mon sac et de mettre mon jean ... soupira Camélia.
- C'est pas vrai ! Il n'y a que toi qui est capable de faire ça ! Rit Karen.
- Le sac de sport, ça passe, ça m'est déjà arrivée mais le pantalon ! Ricana Aurélia.
- Bon, au lieu de rire, vous n'avez pas de solution a me proposer ? Toi, Karen, tu as toujours 2 pantalons de sport ! s'impatienta Camélia
- Manque de bol, cette fois, je n'ai pu en emmener qu'un ! Mais, c'est pas grave, je te passe mon pantalon de sport et je le ferai en jean, ça ne me gêne pas !
- Et pourquoi ce serai Karen qui t'aiderai et pas moi ?? s'énerva Aurélia"
Personne ne lui répondit, pour éviter les disputes. Karen sortit son pantalon et le donna a Camélia. Celle - ci partit en direction des toilettes pour se changer mais la sonnerie retentit. Camélia se mit a paniquée, elle était obligée de partir en sport avec son pyjama ! Le professeur arriva, il commença a citer les différents noms des élèves :
"Mélanie Asti ! (celle-ci leva la main) Sébastien Affro !
- Absent monsieur ! cria Stéphanie
- Corentin Cheminaux ! (il leva la main) ... Aurélia Poulain ! (elle leva la main) Killian Quaril ! ... Karen Thomas ! (elle répondit présent) ... et Zoé Voulinard !
- Absente ! cria de nouveau Stéphanie et sa troupe.
- Je n'ai oublié personne ?"
Camélia leva la main, tout le monde se tourna vers elle. Celle ci fit un petit "Moi". Le professeur la regarda attentivement et fit "Ah oui, Camélia Junasco..." il nota son nom sur la liste et ils partirent vers le gymnase... Que va - t - il se passer ? A suivre ...
CHAPITRE VIII
Le sport ... C'est l'enfer !
Sur le chemin vers le gymnase, Stéphanie vint voir Camélia et ses 2 amies. Elle écarta Karen et Aurélia et tira Camélia loin des autres :
"Tu as sortit un sacré pantalon ! Ooooh, comme c'est mignon tous ces petits coeurs ! ricana Stéphanie
- Lache moi ! Je ne veux pas te voir ! Se débatit Camélia.
- C'est sûrement le plus beau pantalon que tu as porté depuis le début de l'année ! continua la peste. Regardez le MA-GNI-FIQUE pantalon de CAMELIA ! Comme il est JOLI ! Cria Stéphanie aux élèves de sa classe."
Stéphanie jeta un regard rempli de méchanceté à Camélia et partit rejoindre son groupe de copines. Aussitot, Karen et Aurélia se précipitèrent auprès de Camélia. Celle - ci se mit à pleurer. Ses 2 amies la réconfortèrent. Elles arrivèrent enfin au gymnase, les filles entrèrent dans leur vestiaire. Camélia se précipita dedans et enfila le plus vite possible le pantalon de Karen. Il lui était un peu grand mais c'était quand meme beaucoup mieux que son pyjama ! Elle était la 1ere des filles à être prête, décidemment, ce jour là fut vraiment différent ! Elle attendit ses amies et sortit du vestiaire. Les autres arrêtèrent enfin de la regarder. Elle était beaucoup plus a l'aise. La séance se déroula correctement. Elle dut marquer un panier, elle sauta mis le ballon dans le panier, atterit sur le brod de son pantalon, trébucha et s'étala sur le sol. Les collégiens éclatèrent de rire à la vue de cette extraordinaire chute. Camélia éclata de rire aussi, la séance terminée, ils retournèrent tous au vestiaire. Camélia resta habillée comme ça et Karen changea juste de T-Shirt. Elles retournèrent au Collège et allèrent en Français. Cette matière l'ennuyait à mourir, la dernière fois qu'elle était venue en Français, elle était tombée dans les pommes et était allée pour la première fois dans son monde magique ... En rependant à cela, elle ne put s'empêcher d'esquisser un sourire. Malgré son ennuie, l'heure s'écoula plutôt vite, comme le reste de la journée d'ailleurs. Elle arriva chez elle et commença ses devoirs. Elle engloutit son gouter, cette fois, Stéphanie et ses amies ne vinrent pas l'espionner. Sa mère rentra du travail et elles jouèrent ensemble a des jeux de sociétés. Elles mangèrent leur diner et Camélia partit se coucher. Elle désactiva son réveil, c'était le Week-End ! Elle s'écroula sur son lit.
Elle s'endormit sans problèmes. Elle retrouva Caleb, Loupion et Milenia. Caleb regarda tristement Camélia et lui annonça :
"Tu sais Camélia, comme l'a dit Loupion, nous ne sommes pas à l'abri des soucis ici ... Il faut que je te dise que si jamais un jour, quelqu'un d'autre que toi découvre ce monde, tu ne pourras plus jamais nous revoir. Et si cette personne a de mauvaises intensions, elle risque de faire disparaitre notre monde a jamais ... Voilà Camélia, je voulais juste te dire ça ...
- Eh bien, ce n'est pas très gai comme déclaration ! soupia Camélia
- Ne prend pas cela a la légère ! Je te signale qu'a la moindre erreur de ta part, nous risquons de nous quitter a jamais ou encore d'étre détruit ! lança le chat roux.
- En gros ... Votre avenir dépant de moi ? s'interrogea Camélia
- Veux tu bien arreter avec tes questions. Tu sais très bien ce que sera la réponse ! soupira Milénia."
Cette déclaration atrista Camélia, elle ne se sentait plus du tout à l'aise. Ils avancèrent silencieusement, sous le bruit froid du vent et le crisement des feuilles sur le sol. La tête penchée sur le sol, Camélia suivait Caleb, Loupion et Milénia. Elle n'avait aucune idée de l'endroit où ils allaient. Mais où allaient - ils ? A suivre !
CHAPITRE IX
Un roi malveillant
Ils marchaient le long d'un étroit chemin, personne ne pipa mot. Plus ils avançaient, plus le paysage s'attristait. Il devenait sombre, sans feuilles, le ciel était noir, sans lune ni étoiles, ... Les aventuriers entendaient de nombreux cris effrayants de corbeau, de hiboux, de loups ... Cet atmosphère ne les rassurèrent pas du tout, il leur donnaient même des frissons. Ils entrèrent dans une immense forêt sombre et froide. Une troupe de chauves souris passa juste au dessus de leur tête sous un énorme brouhaha de cris et de frottements d'ailes. Cet endroit était loin d'être accueillant ! Soudain, ils entendirent comme un bruit de crépitements, ils sentirent une immense chaleur les envahir. Camélia vit une lueur sur le visage de ses amis, la lueur était orange, jaune et rouge à la fois. Elle regarda les yeux de ses amis et vit ... de grandes flammes à travers. Elle leva les yeux, une longue barrière de feu leur bloquait le passage. Milénia réussit à la traverser sans problèmes, elle ouvrit ses ailes et vola de l'autre coté. Loupion se transforma en rivière d'eau et réussit à éteindre quelques flammes et se freiller un chemin, Caleb, lui, grimpa au sommet d'un sapin et sauta par dessus le feu. Camélia ne savait ni voler, ni se transformer et elle avait le vertige. Ses compagnons l'appelèrent mais elle resta coincée de l'autre coté. Soudain, Camélia n'entendit plus ses amis l'appelé, elle regarda autour d'elle et les flammes commençaient à l'encercler. Elle cria à l'aide mais n'obtenue aucune réponses, elle ne savait plus quoi faire pour s'en sortir. Les flammes l'emprisonnait, elle leva les yeux et vit un grand homme au dessus du piège. Il avait un regard terrifiant, les cheveux et la barbe noire comme un corbeau. Sa barbe était attachée en une longue tresse qui flottait au vent, sur son épaule, se dressait un gros rat aux yeux rouges. L'horrible homme tenait les 3 amis de Camélia, il les avait enfermés dans une petite cage, aussi grosse que sa main. L'horrible regard de l'ennemi ressemblait à celui que Stéphanie lui avait lancée en Sport ... Son énorme visage lui glaça le sang. La chaleur des flammes commençaient à lui bruler la peau. Malgré cela, elle continuait de regarder le géant dans les yeux, en fronçant les sourcils, pour donner un air déterminée. L'énnemi commença enfin à parler :
"Tu as été prise au piège, Camélia !
- Quel piège ? Rien n'a été calculé ! Qui êtes vous ? Et, comment savez vous mon nom ?! paniqua Camélia.
- Le monde est remplie de mystère sans réponses... Ton nom ... m'a été donné par lui (il désigna Caleb).
- Je ne vous crois pas ! Caleb ne serai pas capable de faire une chose pareille (Le nain baissa les yeux) !
- Eh bien ... Tu as un sacré caractère. Même si tu ne me crois pas, je vais t'expliquer comment je m'y suis pris ...
- Arrêtez ! Je ne veux rien savoir ! hurla Camélia
- ... A chaque fois que tu retournes dans ton monde, Caleb vient me voir et me dit tout ce que tu fais. Que tu peux être naïve ! Tu as dévoilé tes points faibles, tes problèmes, tout à un inconnu ! Tu lui as vite fait confiance, les 2 autres aussi d'ailleurs. Bêtement, vous l'avez suivis jusqu'ici, jusqu'à mon immense demeure. D'ailleurs, Caleb, tu as été plus rapide que je ne le pensais ! expliqua l'homme. Je suis peut être fou, mais je vais te dire mon nom ... Je m'appelle ... Nifasté. QU'ON L'EMPRISONNE !"
Des serpents sortirent de sous la terre et enroulèrent les chevilles et les poignets de Camélia. Celle - ci se débattait et criait le plus fort possible. Nifasté pris Camélia par le bout de ses doigts et l'emporta jusque chez lui. Il l'a jeta sur le sol, ses amis aussi. Milénia et Loupion se battaient contre Caleb "Comment as - tu osé ... ?!" répétaient - ils sans arret. 3 corbeaus sortirent d'une des immenses pièces du château et embarquèrent Camélia. Celle - ci ne cessait de se débattre et de hurler, ils la jettèrent dans une pièce vide, froide et sale. Camélia pleura de douleurs, les serpents serraient ses poignets et ses chevilles de toute leur force. Elle leur souffla dessus mais ils ne la lachèrent pas. Soudain, elle entendit une sonnerie, son réveil. Elle sortit de son lit, elle avait encore les larmes aux yeux. Elle mangea son petit déjeuner, se brossa les dents, s'habilla, se coiffa et fit son lit. Pour la première fois depuis son arrivée dans le monde magique, elle était heureuse d'être le matin. Elle regarda l'heure : 7h30. Quelques choses lui revint en tête, elle jeta un coup d'oeil sur le calendrier. Elle venait de se lever, elle était à l'heure sauf que ... On était Samedi ! Camélia poussa un long soupir et retourna se coucher. Elle n'avait plus du tout envie de dormir, elle venait tout juste de manger son petit déjeuner. Elle sentait encore le chaud de son chocolat dans son estomac. De plus, il était hors de questions de retourner dans cet atroce demeure ! Caleb l'avait énormément déçue, il paraîssait si gentil et agréable, mais ce n'était qu'un lâche, un horrible nain ! C'est énervée, que Camélia s'endormit. Elle se retrouva plaquée sur le sol poussiéreux de la pièce. Elle roula jusqu'au mur et s'y appuya pour se relever. Un instant, elle perdit l'équilibre mais réussie a rester debout. Elle sautilla vers la porte et s'élança un grand coup sur la porte à plusieurs reprises. Enfin, la porte s'ouvrit. Silencieusement, elle sautilla dans le couloir et entendit des voix. Qui était ce ? A suivre ...
CHAPITRE X
Une évasion plûtot discrète ...
Camélia tendit l'oreille, cette voix lui semblait familière. Elle l'avait déjà entendue quelques parts... Mais où ? Cette petite voix aigu, elle se pencha pour mieux entendre. Elle jeta un coup d'oeil rapide et se cacha derrière un petit mur de pierre. Camélia venait d'apercevoir le fameux Caleb. Rien qu'en prononçant ce nom, Camélia avait envie d'exploser. Il n'était pas seul, les autres voix lui étaient tout à fait inconnue. Elle entendit des bruits de pas, environ 4 personnes marchaient en sa direction. Elle se faufila dans un coin et arrêta de respirer un instant. Ils marchaient lentement, un instant, Camélia crût qu'ils allaient la trouver. Ils passèrent devant le muret sans l'apercevoir. Camélia put enfin tous les voir. Caleb tenait Milénia et Loupion fermement dans ses petites mains. Un autre animal marchait avec eux, sûrement un autre esclave de Nifasté. C'était un tigre rouge aux rayures bleus, il avait de grands yeux verts. Ce qui parut étrange à Camélia, c'est qu'il marchait sur ses pattes arrières, comme un être humain. Elle reprit sa respiration, ce qui lui fut fatal. Le tigre se retourna, il avait les pattes avants enchaînées. Un prisonnier ? Il la fixa de ses grands yeux verts et continua son chemin sans rien dire au nain. Elle attendit de ne plus entendre le bruit de pas des prisonniers puis rampa jusqu'au muret d'en face. Elle frota les serpents contre un morceau de fer qui dépassait du mur. Elle mit plusieurs minutes a s'en défaire et fit de même pour ses chevilles. Ses membres étaient enfin libérés ! Elle regarda ses poignets un instant, les serpents serraient tellement forts que ses poignets étaient tout rouge et brûlés. Elle se releva sur ses chevilles douloureuses et courut sur la pointe des pieds rejoindre ses 2 autres amis. La douleur lui faisait des fourmis et des piquotements. Soudain elle vit 4 silhouettes au loin. C'était eux, Camélia reconnut vite la silhouette de Caleb et Milénia. La 3e silhouette changeait sans arret de forme, C'était Loupion qui se transformait pour se libérer. La 4e restait calme et suivait le groupe. Etait - il ici depuis longtemps ? Mais ou Caleb les emmenaient ils ? se demandait la jeune prisonnière. Elle s'approcha de plus en plus, personne ne l'entendait. Elle saisit un des pavés posés sur le sol et le lança de toutes ses forces sur le lutin. Malheureusement, la pierre n'atteignit pas sa cible. Le bruit de la pierre sur le sol n'échappa pas à Caleb qui se retourna immédiatement. Il fouilla le couloir de son regard et trouva Camélia. Celle - ci s'enfuit en courant, le petit homme la poursuivit, traînant le reste des prisonniers avec lui. Les petites jambes de Caleb étaient plus rapides que l'éclair. Camélia s'en rendit vite compte et essaya d'accélérer mais s'essoufla très vite. Elle trébucha sur un pavé et s'écroula sur le sol sous un cri de douleur. Caleb en profita pour la prendre. Il empoigna sa main et reprit son chemin. Le tigre lui murmura :
"Bien essayer... J'ai fait un tas de tentatives pour m'enfuir de cet horrible endroit, mais je n'ai jamais réussi...
- Tu es ici depuis longtemps ? Et comment t'appelles tu ? demanda Camélia.
- SILENCE ! cria Caleb
- Je suis né ici, ma mère est morte à ma naissance, ici,...(il essuya quelques larmes) je m'appelle Guy, et toi ? continua le tigre.
- Moi, Camélia, AÏE ! (Elle frotta son épaule ensanglantée)
- Que tu dois avoir mal ! soupira Milénia.
- SI-LEN-CE ! Sinon, j'en jette un avec les crocodiles ! "
Loupion se contenta de lui lancer un regard plaintif. Elle lui répondit par un sourire. Ils n'avaient aucune idée de l'endroit où Caleb les emmenaient. Celui - ci les traînait jusqu'une immense salle ou trônait Nifasté. Le roi fit signe au nain de déguerpir, il obéit et partit sous une révérence. Il laissa Camélia et les autres debout au beau milieu de la salle du roi Nifasté. Celui - ci les regarda du haut de son trône, chacun à son tour. Il pointa du doigt chacun d'entre eux, comme s'il hésitait... Soudain il cria "TOI !" en désignant Camélia, "METTEZ LA AVEC LES LIONS ! LUI !(en montrant Loupion) AVEC LES CROCODILES ! ELLE ! (en pointant Milénia) AVEC LES SERPENTS FEROCES ! ET Toi... QU'ON LE NOIE DANS L'EAU BOUILLANTE !" A ces mots, des tas et des tas de corbeaux sortirent de toutes parts et emportèrent chaques prisonniers vers leur triste destin. Camélia hurla à s'en défaire la voix. Ils la jetèrent dans une petite cage avec 6 lions avec des canines immenses et un regard terrifiants. S'en sortira - t - elle ?
CHAPITRE XI
Qu'ils sont féroces !
"Apparemment, rester immobile met les lions en confiance"Murmura Camélia pour se rassurer. Mais elle savait très bien qu'elle ne pourrait pas rester ainsi infiniment, il fallait qu'elle trouve une autre solution. Elle n'avait aucun objet pour se défendre. Elle se contenta de leur dire plein de mots en murmurant, pour leur donner confiance. Tous ces mots n'avaient pas forcément de sens, mais cette ruse fonctionna. Les lions semblaient se calmer. Camélia entendit les portes des autres pièges pour prisonniers se refermer sous un gros bruit de claquement. Mais elle n'était pas la seule a l'avoir entendu, les lions aussi l'avaient entendu, leur calme disparut soudainement. Ils poussèrent de terrible grognement et rugissement. La jeune prisonnière hurla de terreur et courut se cacher dans un des coins de la pièce. Les félins l'encerclèrent. Elle se plaquait de plus en plus sur le mur de pierre. Elle appuya son pied sur une des pierres du mur. Ainsi, elle réussi a prendre de la hauteur, elle continua l'opération et grimpa jusqu'au plafond. Camélia tremblait de terreur, les lions contiunaient de la regarder de leurs grands yeux dorés. Elle compta dans sa tête : 1, 2, 3 ! Elle lacha le mur et bondit sur le plus gros des lions. Elle pris 2 touffes de poils de sa crinière et le dirigea comme un cheval. Tout de suite après cela, les autres lions s'inclinèrent devant Camélia, prêt à exéctuer ses ordres. Sous les commandes de la jeune fille, l'énorme animal se jeta sur l'immense porte de bois. Les autres félins le rejoignirent et firent de même, au bout de plusieurs reprises, elle s'ouvrit enfin. Caleb et Nifasté n'étaient pas présent dans la salle du trône. Camélia descendit du lion, celui - ci lui fit un signe de tête comme remerciement. La jeune fille s'avança vers une des autres portes de bois. Elle y colla son oreille et entendit comme un claquement de dents. Etait - ce les crocodiles ? La seule solution pour répondre à cette question était d'y entrer. Camélia ouvrit la porte sous un long grincement, aussitôt 6 crocodiles se tournèrent vers elle. Heureusement, Loupion n'avait pas encore été dévoré. Elle lui prit la patte et referma la porte le plus vite possible. Aucun crocodiles n'eut le temps de passer, Camélia et le chat virent une patte de crocodile dépasser de la porte. Ils poussèrent un gémissement de dégout et partirent a la porte suivante. Devant l'étape suivante, ils entendirent comme un long soupir, les serpents. Ils arrivèrent au bon moment, la colombe volait au dessus des serpents menaçants. Elle semblait épuisée. Loupion se transforma en un tigre et écarta les serpents d'un coup de patte, tandis que Camélia récupéra Milénia. Ils s'enfuirent, une nouvelle fois, à toute vitesse. Ils arrivèrent enfin a la derniere porte, là où Guy était enfermé. Bizarrement, celui - ci était déjà devant la porte, à attendre. Aucune brûlures, rien. Elle se pencha et vit l'eau, soit disant brûlante, complètement gelé. Camélia lança un regard d'incompréhension à Guy. C'est ainsi qu'elle comprit le pouvoir du tigre. Il pouvait gelé n'importe quel objet. Ils se prirent tous la main et coururent jusqu'à la sortie du château. Mais Caleb leur coupa le passage. Et, Bizarrement, celui - ci dit "Allez, il faut se réveiller Camélia ! Il est 10h 30 !". La jeune fille se réveilla et vit sa mère penchée au dessus d'elle. Camélia poussa un petit grognement et regarda son réveil. Il était bien 10h 30. Elle giguota dans sa couette, aveuglée par la lumière. Ce n'est que 10 minutes après qu'elle se leva. Pendant qu'elle mangeait son petit déjeuner, sa mère l'appela :
"Camélia, tes amies sont venues te rendre visite, dépêche toi !
- Quoi ? (Elle jeta un coup d'oeil a travers la porte) Aurélia ! Karen ! Entrez, je suis loin d'être prête !
- Prend ton temps, on peut attendre. Fit Aurélia
- Oui enfin, on ne va pas attendre 3 jours non plus ! (Aurélia lui donna un coup de coude) Aïe. Ooh, bien sûr j'ai dit ça pour rire !"
Camélia courait dans tous les sens, "Que mettre ? Vite, elles m'attendent ! Ca ? Non, ça va pas, trop usé..." Des tas d'idées lui venaient en tête. Finalement, elle mit la tenue la plus simple, un petit débardeur avec un ruban gris a rayure roses claires. Un pantacourt saumon et des petites fleurs comme boucles d'oreilles. Elle se brossa les dents le plus vite qu'elle pouvait et lissa ses courts cheveux bruns. Elles se précipita vers ses amies, enfin prête. Elle fit un signe à sa mère et partit avec Aurélia et Karen. Qu'allaient - elles bien pouvoir faire ? A suivre ...
CHAPITRE XII
Une sortie incroyable
Les 3 amies marchent sur le trottoir tranquillement. Le soleil leur tapait sur les épaules, mais elles trouvaient cela plûtot agréable. Un petit vent frais couvrait la chaleur sèche de l'été. Les grandes vacances approchaient à grands pas, les 3 filles le savaient, elles profitaient alors de leurs derniers instants dans la même classe. Aurélia tournait sur elle même et fit tournoyer sa jolie robe de dentelle, enfin, elle se jetta dans l'herbe encore fraîche du matin. Karen et Camélia firent de même. "Quelle sensation agréable ! On pourrait rester comme ça pendant des heures !" fit Aurélia. Les 2 autres acquiessèrent, mais elles finirent vite par s'ennuyer, a rester allongée sur l'herbe a rien faire. Alors, elle partirent chez Aurélia. Camélia venait rarement chez elle, car la mère d'Aurélia n'apprécit pas vraiment d'accueillir des amis a l'improvistes. Mais celle - ci n'était pas là, donc elles en profitèrent. Elles entrèrent dans la petite maison, malgré sa petite taille, elle avait du charme. Elles buvèrent un verre de jus de fruits dans la cuisine verte pastelle. La décoration de la maison était plutot douce et sucrée, enfin, c'est l'impression que donnait les couleurs pastelles à Camélia. Les 3 filles ne restèrent ici guères longtemps et retournèrent dehors. Elles riaient, tournoyaient, jouaient sous la douce lumière du soleil. Mais une voix bien connue les arrêta net :
"Vous vous êtes vues ? Non mais franchement, on dirait de vieilles cruches en train de danser dans une flaque de boue ! (La troupe eclata de rire) Et puis ... Que ta petite robe est jolie ! (elle prit le bout de la robe d'Aurélia) fit Stéphanie, ironique.
- Lâche ça ! Je ne voudrais pas que ma robe soit salie par des mains venant d'une fille aussi mauvaise que toi !
- Venez les filles, il ne vaut mieux pas rester avec cette bande de pestes ! (Karen prit les mains de ses amies et partit loin sur le chemin sans se retourner vers Stéphanie)
- Comment oses - tu dire ça de la MEILLEURE troupe de TOUT le collège ? Nous traiter de pestes ? Vous allez voir vous 3, on va vous faire a
la fête ! Cria Stéphanie"
La voix de Stéphanie rappela quelques choses à Camélia ... Elle fouilla dans le plus profond de sa mémoire, mais elle fut perturbée dans ses pensées par le bruit de pas qui se rapprochait de plus en plus d'elle. Camélia se retourna et se retrouva nez à nez avec sa pire énnemie. Quand elle vit son regard, elle devina enfin de qui il s'agissait. En la voyant, Camélia avait pensé à Nifasté. "Mais, d'ailleurs, Nifasté... C'est Stéphanie en inversant les syllabes ! Décidemment les Stéphanies sont faites pour être méchante ^^ !" pensa Camélia. Mais elle ne se rendit pas compte que sa dernière phrase, elle ne l'avait pas pensée, mais dîtes tout fort ! Rien qu'à regarder Stéphanie, Camélia devinat que celle - ci allait exploser ... La folle se jetta sur elle, mais la jeune fille réussie à se décalée juste avant que l'énnemie n'atterisse sur elle. Stéphanie s'écrasa sur le sol comme une vulgaire crotte d'oiseau. En imaginant la peste ainsi, Camélia ne put s'empêcher de rire. Elle empoigna la main de ses amies et fuya en riant. La troupe était maintenant hors de leur vue. Malgré cela, Karen semblait plûtot triste, Aurélia tenta de la réconforter :
"Eh bien Karen ? Qu'est ce qu'il y a ? Stéphanie te manque ?! (Elle ricanat dans sa moustache pour ne pas que Karen ne s'en rende compte)
- Je viens de penser à quelques choses... mais j'ai peur que vous vous moquiez de moi. Pleurnicha Karen.
- Tu viens de dire quoi là Karen ? Nous, nous moquer de toi ? Tu sais bien que ce n'est pas notre genre ! On ne s'appelle pas Stéphanie Liggnack ! fit Camélia.
- Vous êtes sures ? (Aurélia et Camélia firent "Oui" de la tête) Est ce que je me comporte vraiment comme une petite cruche ?
- Mais, Bien sur que non Karen ! Stéphanie dit ça pour nous rendre triste, justement ! Tu sais bien qu'elle ne fait que dire des mensonges... répondit Aurélia et Camélia."
Elles prirent Karen et lui dirent Au revoir. Karen leur fit un petit geste de la main et s'éloigna. C'était au tour de Camélia de rentrer, sa mère l'attendait pour diner ! Elles se firent la bise et Camélia quitta son amie. Elle repensa a la coïncidence entre Nifasté et Stéphanie. La jeune fille se doutait bien que toutes les Stéphanie n'étaient pas méchantes. Camélia voulut absolument éclaircir ce mystère. Elle rentra chez elle le plus vite possible, sinon, elle allait se faire disputer par son père.
CHAPITRE XIII
Les apparences sont trompeuses !
Camélia arriva essouflée chez elle, suprise, sa mère lui demanda "Tu rentres déjà ? Il n'est que 12h !". La jeune fille fit les gros yeux. Cela voudrait dire que sa mère croyait qu'elle allait sortir plus longtemps ? Camélia voulait absolument savoir le nom de famille de Nifasté, pour savoir si c'était le père de Stéphanie. Elle cria a ses parents qu'elle partait se reposer dans sa chambre. Elle se jetta sur son lit, encore essouflée par cette course. Elle s'endormit et arriva dans son monde. Elle apparut là où elle était partie. Au beau milieu de la forêt sombre de l'horrible roi. Elle entendit Caleb crier. Il était à leur trousse, où se cacher ? Elle entraîna Milénia, Loupion et Guy avec elle et partit se réfugier derrière un des arbres de la forêt. Êlle venait d'avoir une idée, elle la murmura à Loupion :
"Est - il possible de me prêter ton pouvoir ? Pendant un certain temps ?
- Il me semble, ne me dit pas que tu souhaites te tranformer en Dragon et bruler le royaume !
- Non, bien sur que non, tu te doutes que je ne serai jamais capable de ça ! Fais moi confiance un peu, non ?
- Hmmmouais... D'accord..."
Le chat posa sa patte froide sur le front chaud et humide de Camélia. Le gros chat ferma les yeux, et prit une mine sèrieuse et concentrée. Soudain, un étrange frisson la parcourut, comme si un courant électrique parcourait tout ton corp à toute vitesse. Camélia poussa un petit gémissement de douleur et regarda son ami. Il paraissait tout à fait normal, comme si rien ne s'était passé. Il expliqua à Camélia comment l'utiliser. Pour sa sécurité, dès le retour de Camélia, il lui retirera son pouvoir. Elle demanda à ses amis de rester sur place. Elle se transforma en chauve-souris, elle aurait préférée se transformer en un superbe oiseau coloré, mais les ennemis l'auraient vite repérée dans ce monde sombre et sans couleurs. Elle se rendit compte a quel point il était compliqué de voler. Mais elle s'y adapta vite, malgré quelques petits déséquilibres. Elle vola jusque sur le toit du château et reprit son apparence initiale. Elle glissa sur une des tuiles et tomba. Elle se rattrapa sur le rebord du toit. Elle sentait ses jambes flotter dans les airs, c'était mauvais signe. Elle se transforma en un chat noir et remonta sans problèmes grace à ses coussinets antidérapants. Discrètement, elle se faufila par une des fenêtre de l'immense demeure. Elle atterit sur le sol du château sur ses pattes. C'était plutot chouette d'être un chat, mais elle se rendit en son apparence initiale, pour éviter de s'épuiser inutilement. Elle continua son chemin et s'arrêta devant la porte de la salle du trône. Elle colla son oreille à la porte, elle reconnut tout de suite la voix de Nifasté. Elle se transforma en Stéphanie. Elle ne put s'empêcher de faire un bruit de dégout. Jamais elle n'aurai penser qu'un jour elle serai comme elle ! Sure d'elle, Camélia toqua à la porte. Elle entendit la grosse voix du roi et entra. Le maigre visage de l'homme s'illumina en la voyant. Il dit :
"Ma fille ! Je ne pensais plus jamais te voir ! dit - il, en versant quelques larmes de joie.
- Euuuh... Bonjour père ! répondit Camélia.
- Tu n'as pas l'air d'être heureuse dis moi !
- Ooh, si mon père ! fit - elle, avec un sourire.
- Hum, tant mieux, mais, dis moi, comment as tu fait pour venir ici ? Comment ?!
- Eh bien ... Euh ... Je ne sais pas vraiment en fait, je dormais et me voilà là ^^ Hahahaha ! Fit elle avec un rire nerveux.
- Et ta mère ? Elle va bien dit moi !? fit - il, d'une voix agréable.
- Très ! Elle va très bien ! acquiessa Camélia.
- Depuis que je suis parti... Vous me manquez énormément, ta mère et toi... Je doutais que tu te souviendrai de moi...
- Oh ! Père ! J'ai toujours pensé a toi ! Je me souviens encore quand tu me changeais la couche ! ricana - t - elle.
- Hahahahaha ! Mais... Je ne t'ai jamais changé la couche !"
Il la regarda dans les yeux, elle ne put se retenir de faire un petit rire nerveux. Il murmura quelques choses qui n'était pas Français. Camélia pensait que c'était de l'Esoagnol ou de L'Italien. Il continua de la regarder et dit :
"Si tu es réellement ma fille, tu sauras répondre à cette question : Où habitait - on quand tu avais 4 ans ?
- Humm, on vivait à Grenade ? En Espagne ?
- Mauvaise réponse, on vivait à Cuba, tu n'es pas ma fille. CE N'EST PAS MA FILLE ! DEHORS DEHORS ! AU CACHOT !"
Camélia partit de la salle en courant, elle se transforma en chat et sauta par la fenêtre. Elle atterit sur le toit, elle se métamorphosa en chouette en vola jusqu'a la plus haute des tours du chateau. Elle se changea en Caleb, cette copie était identique à l'original. Celui - ci ne se rendit pas compte, il était trop occupé à chercher Loupion, Milénia et Guy. Elle se tenait à la girouette accrochée sur le haut de la tour, tel un héros. une troupe de corbeaux arriva, ils cherchaient surement Camélia. Ils se retournèrent tous vers elle. L'avaient - ils reconnues ? A suivre ...
Alors ? Des avis ? N'hésitez pas, j'en ai besoin
Dernière modification par Lolobauls (Le 11-04-2013 à 21h04)
>>>ArtLand, forum artistique qui déchire<<<
TsurMugi, une amie un peu spéciale & Nini caméraman ftw.
Hors ligne
#1547 Le 11-04-2013 à 22h58
Lolobauls, ton texte est vraiment magnifique:) malgré quelques petites erreurs...
Dans le roi malveillant, c'est un sacré caractère non un sacret!
Dans les chapitres que tu as ajouter, énnemie s'écrit ennemie
L'espagnol s'écrit comme cela tu as fait une faute!
As tu s'écrit as-tu
Sinon, c'est très bien!
La suite...
Chapitre 2
Le début de la fin
Janna et Constant savaient très bien que la reine avait des milliers de gardes farouches et cruels. Constants était nerveux tandis que Janna semblait sur le point de s'évanouir. Ils devaient se déguiser mais comment? Ils décidèrent de se déguiser en marchands et Simon fera diversion. Ils revêtirent leurs vêtements. Deux gardes les accueillirent avec un air soupçonneux. -Bonjour messieurs, je viens pour sa majesté Miriam... Simon s’agenouilla. -La reine ne veut personne pour le moment jeune homme... Dit le premier garde -Oui, c'est formellement interdit alors dégage! Dit le deuxième. -Je ne vous ai pas demander votre avis! Cria Simon. BIG ,BANG, PAF! Les deux gardes tombèrent sur les coups de Simon.
-Allez-y! Murmura Simon. -Vite! Rajouta-t-il. Constant et Janna poussèrent la porte de bois et filèrent dans le hall. -Constant, as-tu le poignard? murmura Janna
-Oui, on essayera de l’empoissonner et si cela ne marche pas nous devrons la tuer... Dit tristement Constant. -Aller, sa chambre est par là! Chuchota Janna. Ils poussèrent une autre porte et la reine était là, dormant paisiblement lorsque...
-AAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHH!!!!!!!
La suite...
Hors ligne
#1548 Le 12-04-2013 à 14h27
Des avis ^-^ ??ChinoMika a écrit :
Bonjour ^_^ !
Lolobauls : Oui c'est moi qu'il à inventée mais cette fois en Art Plastique x)) ! Sa m'énerve la peinture !
Katty' : Je n'ai pas eu le temps de le lire en entier, mais j'ai lue la moitié, alors je peux pas très bien te die des choses, mais le début est géniale ! Courage !
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Bein, je voulais vous faires partager ma 2e citation que je suis entrain d'invente sur mon clavier 8D :
-♥ L'amour c'est comme une montre, il faut la mettre à l'heure souvent... ♥-
Des avis ? Je sais c'est en peut fait à la Rapidos, mais je vous montrerez une autre façon plus joli(e) plus tard ^.^
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Bye bye !
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#1549 Le 12-04-2013 à 15h36
Bonjour ,
Moi perso , les poeme , c'est pas mon point fort , onc j'ai pas assez d'imagination pour vous en écrire.
Bon jeu.
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#1550 Le 12-04-2013 à 15h55
Léa et le Ranch des mystères !
Chapitre III ajouter !
Spoiler (Cliquez pour afficher)
I
Comme tout les lundi soir Léa devais ranger , laver , dégraisser tout le Ranch avec son amie Lisa. Soudain Lisa appela Léa << Léa !!! Un des cavalier ou moniteur a du embarqué la selle de Lolita !!!! >>
<< Quoi !? La selle de Lolita ?! >>
<< Ouais !!! Ces la seule qui manque ! Je le dirai demain à Joséphine ! >>
<< Ok ! >>
Elles finirent leur labeur et rentrèrent (enfin) chez elle !
Le lendemain au Ranch les filles allèrent voir Joséphine.
<< José. ! Manque ... selle ... lolita ... >>
<< Arrête de parler p'tit naigre et explique toi ! --'' >>
<< On a volé la selle a Lolita !!! >>
<< Je sais je l'ai vu ! >>
Quand tout à coup Emilie débarqua.
<< Mme. je voulais brosser Flêche et quand je suis allez chercher sa brosse bah il y étais pas ! >>
<< Deux vole en une journée ! >> s'écria Joséphine.
Quelque heure plus tard ...
<< Dit Léa tu croit que ses qui qui a volé ? >>
<< J'en sais rien ! >>
Le téléphone de Léa sonna
<< Allo ! Maman ? Ouais ... Ouais ouais ... hum ... Ok ... Quoi ? >>
<< Euh Léa tu peux me dire se qu'elle ta dit ? >>
<< Maman veux que j'aille passer les vacances chez elle car papa bosse ! >>
<< Mais je croyais qu'avec toi et ton père on devais ... >>
<< Je suis vraiment désoler pour le camping équestre ! Mais je suis obligé ... >>
Alicia avais tout entendue "Pourquoi ne pas le dire ..." pansais Alicia. Le lendemain Léa et Lisa furent appeler par Joséphine.
<< Léa pourquoi toi ?! >>
<< Euh moi quoi ? >>
<< Ces toi qui a volé les selles et les brides ! >>
<< Vous avez même pas de preuve ! >>
<< Alicia à donner une photo de toi en train de volé une selle , au policier ! >>
<< Quoi ?! Ces quoi ce délire ! >>
<< Vous êtes renvoyer jusqu'au nouvelle an ! >>
<< 1 ans ! >>
<< Ces cela oui ! >>
Le père de Léa la regardais triste d’apprendre que sa fille oui sa propre fille vole !
Lisa elle, n'était pas renvoyer elle a beau expliquer mille fois à Joséphine que Léa n'y est pour rien, rien n'y fait.
Dans la voiture un mur de musique semblais séparer Léa et son père.
<< Comment a tu pu Léa ?! >>
<< Mais ses pas moi ! Tu ne me croit pas , maman elle, comprendrai ! >>
<< Ta mère n'a rien a faire la dedans, demain tu va a l'aéroport elle viendra te chercher ! Tu part pour Floride ! >>
<< Floride mais ses loin ! Et je parle pas un mot d'anglais ! >>
<< Raison d'apprendre ! >> dit son père énerver.
II
Léa fis sa valise elle pris : son téléphone dernier cri, ses habilles , deux tenues de soirées, son doudou, une photo d'elle et Lisa et son journal intime ! Et elle s'habilla avec son pontalon d'équitation sa chemise et ses botte elle mis son chapeau de cow boy
<< Il me portera chance ! >> dit-elle.
Elle decendit et pris son tiquet de bus son père lui dit au revoir de la main et Léa partie.
Arriver à l'aéroport elle chercha sa mère quand soudain une fille pas plus aute de trois pommes avec ses talon haut et son slime s'avança vers moi.
<< Hey ! Ta mère a pas pu te chercher ces moi Tina ta couz ! >>
<< Ah euh ...>>
<< Tu te souviens hein ? >>
<< Ouais,ouais ! >>
<< Allez viens , ta 14ans ses sa ?! >>
<< Ouais ouais ! Et toi ? ... >>
<< Moi ? J'ai 17 ans ! >>
<< OK ! Tina ! >>
Arriver en Floride.
<< Et Tina tu parle pas anglais ? Et maman ? >>
<< Moi ? Nan je parle français,anglais et espagnol ! Ta mère elle, parle plus trop français elle parle anglais... >>
Je sentit en moi une sorte de force si je ne pouvais même pas parler à maman ... Si je ne pouvais que parler à Tina ? Elle est sympa mais ... mais collante voila collante !
Tina et moi nous marchions sous un soleil de 40° nous arrivâmes on ranch il y avais plus de 100 chevaux , des boxs un prais un potager bref un ranch quoi !
<< Regarde ! >> me dit Tina << Ces chocolate ! >>
<< Chocolate ! Oh mon chocolat à moi !!!! >>
Ensuite nous entrons et Tina me dit :
<< De l'eau, un thé froid ou du coca ? >>
<< Humm ... Un thé froid s'il te plais, merci ^^
quand tout un coup une dame arriva .
III
La dame s'avança vers moi et me fis des tas de bisous, puis elle s'arrêta et dit : << Oh my little darling you've missed me! >>
Je me tourna vers Tina et luis dit << Euh elle adit quoi ??? >>
Tina rigola puis me dit : << elle t'a dit h ma petite chérie tu m'as manqué!>>
alors je répondit << Ah bah merci ^^" ! >>
La dame se tourna vers Tina et lui dit : << Tina she said what? >>
Tina regarda la dame et lui dit : << She told: Ah bah thank you! >>
<< O.k ! >> lui répondit la dame.
Tina se retourna vers moi et se pencha délicatement et me dit : << La dame. C'est ta mère ! >>
J'étais choquer, sur les photos maman ne ressemblais pas à sa sur les photos ! Je montais dans ma chambre en courant.
Maman monta et entra et elle me dit :
<< Léa , I'm sorry ! Je ne parle plus trop French ! >> dit elle avec son accent anglais.
je lui répondit : << I'm sorry but you speak more French >> bien sur j'utilisais google traduction pour m'aider !
Elle sorti de ma chambre façon de dire OK je te pardonne !
Je descendis dépiter, j'ouvris le frigo pour prendre une brique de jus de fruit, mon péchés mignon. En m’assaillant j’entendis maman dire des choses genre ok, whate enfin cela mettais égale, j’appelai Tina et lui dit :
<< Où est l'ordinateur ? >>
<< Mongole ! Y a pas de réseau ! Faut que tu ailles en ville au cyber café >>
elle me le dit d'une façon si normal pour elle ...
Je pris mes sous et alla en ville, je paya pour une heure d'ordi. je consultai mes mail Lisa m'avais écrit :
Coucou, ma p'tit cavalière ! Sa se passe tes vacance ?! Moi avec Mélissa j'irai en randonné équestre ! J'aurais aimé que se sois toi qui serai avec moi mais vu que tes partie ...
J'pence à toi Biz. LISA !
Pendant qu'elle allais s'éclater moi ... je ne ferai rien...
A suivre ! ^^
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