Le chap 1 de Et ensuite !
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[POV Hélène]
J'étais assise, par terre, sous une couette blanche, devant un feu dansant, et une tasse blanche de thé à la menthe chaude. Je n'avais juste une simple robe, mes cheveux bruns et longs me réchauffer un minimum, je buvais gorgée par gorgée, sans cessé de penser à elle, je n'aurais pas du garder cette enfant... Je veux revoir Bruce, mon ancien mari, qui à la naissance de Medley m'a laisser, sans argents, ni loyer, j'habite un chalet abandonné, et je récupère l'eau de pluie. Je me nourris au minimum et grâce au petit jardin derrière le chalet, je vais dans les brocante et vide grenier ou parfois de petites choses son donnés, ma sœur me prête parfois de l'argent, personne ne pourrait penser que quelqu'un habite ici. Et soudain... La porte s'ouvre violemment.
" Mademoiselle Lerry Hélène!?
-Je suis là, dis-je avec un peu de peur dans la voix."
Je hottai la couette qui me couvrait et la déposa délicatement à côté de moi, ainsi que ma tasse et me leva, en me dirigeant vers les hommes qui étaient entrés. Ils étaient trois, trois hommes. J'en reconnaissais un, c’était le frère de Bruce, c'était Quentin. Il ressemblait à Bruce, un goût de nostalgie vint un instant, mais partit de suite, sachant qu'il n’était pas là pour rien, et plutôt dans la cadre de son travail, il se passait quelques chose de mal. C’était jeune homme, qui travailler dans la police, il était beau, des cheveux bruns foncés, et des yeux d'un très beau marron clair, on pourrait dire noisette, je le dévisagea et avança, je pu voir, dans ses yeux de la peur, de la tristesse, de l'angoisse... Quelques chose aller mal, je ne voulais pas précipité les choses, mais je crois que si je ne brise pas ce silence, je ne pourrais s'avoir ce qu'il se passe, vite, une boule au ventre, et à la gorge vint se formé, et avec un peu d'hésitation je parla.
"Que se passe t-il ? dis-je le plus vite possible, la voix tremblante.
-Nous allons vous poser quelques questions, et d'autres choses, c'est votre sœur qui nous a aider à vous trouver, mais aucune piste n’est encore présente. dit l'un d’eux.
-Une enquête, sur moi !? dis-je affolais.
-Sur Medley... dis finalement Quentin en baissant la tête, essayant de camoufler ses émotions."
Je ne bougeai plus, j'étais figer, il était arrivé quelques chose à ma fille, ma Medley... Elle aurait du avoir mieux comme mère, comme situation, et tout, et maintenant il lui arrive quelques chose… Tout sa à cause de Bruce c'est à cause de lui qu'on en est à la !
"Elle n'est pas morte.
-Comment le s'avez vous ? dis-je en essuyant une larme, et la voix tremblante.
-Nous avons une vidéo, d'elle qui mange, et ensuite s'endors.
-Elle à donc était kidnappée ?
-Et bien, oui. Nous ne s'avons pas où, elle est, ni qui sont ses ravisseurs, nous s'avons juste qu'ils sont plusieurs, et qu'elle va très bien, sa doit être quelqu'un de son entourage, mais c'est incertain, suivait moi, vous allez monter dans la voiture qui vous attends s’il vous plaît."
Il n'eut pas le temps de dire autres chose, que je me précipitai, dehors, je vis les deux voitures, j'enfilais mes sabots noirs, qui étaient déposés sur le paillasson, et descendis les deux marches, .je regarda les voitures quelques secondes, et je revins vers la porte, les policiers sortirent, j'allai vite chercher un manteau marron, je refermai la porte, et je me dépêchai d'entrai dans la voiture à cause de ce vent glaciale.
Tout le monde y était on pouvait partir, la tristesse commençais à m'emporter, j'avais bien tenue jusqu'à ici, je commençais à pleurer... Jusqu'à ne plus pourvoir m'arrêter, nous avons au moins deux heures de routes à faire avant d'arriver à la ville la plus proche. J'avais froid, je me recroquevillai dans le manteau, et à ce moment, Quentin qui était au volant, mis le chauffage. Après quelques minutes, il faisait plus chaud que froid, une vague fraîcheur. Je tournais mon regard, vers le jeune homme auquel je n'avais pas porté d'attention avant, assis à mes côtés. C'était un grand, musclé, blanc, des yeux noir, une petite barbe, il était chauve, et avait un piercing à l'arcade sourcilière. J'arrêtai de le dévisageai, et regarda la route, je ne pensais qu'a Medley. La tête tournai vers la fenêtre, essayant de ne pas montrer quelques larmes coulaient, le paysage défilai, mais ce n'est pas que je ne le regardai pas, c'est que je na le voyais pas. J'essuyai mes larmes, mais d'autres coulèrent, ma petite Medley, où est tu ?
Voili voiloù, bisous bisous !