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#676 Le 11-05-2013 à 22h35

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Bonjour,

Pour l'histoire d'horreur Pom Pom Tchy j'ai une autre version  :

Un soir les parent de Laura(6 ans) et Julie (14 ans)décidèrent d'aller au restaurant donc il conseillèrent : Ne répond pas au téléphone et n'ouvre pas a la porte ok ?
-Oui maman ! lui répondirent les deux filles !
1 h passer depuis que les parents sont partis et Julie voulu aller se coucher donc Laura fait la même choses.
-Julie dorma très profondément quand soudain Laura entendit un bruit : Pom Pom Tchyy
elle se leva précipitament de son lit et alla voir sa soeur :
-Est se que je peux dormir avec toi j'ai fait un cauchemar ?
-vas t'en !! laisse moi dormir !
Laura nu pas le choix et alla se recoucher dans son lit .
Quelque minutes plus tard elle entendit :
-Pom Pom Tchyy
elle re alla voir sa soeur qui lui disait toujours la même choses alors encore une fois alla dans son lit!
Le lendemain Julie alla voir Laura elle elle la trouver avec deux couteaux dans le dos !
-haaaaaaaaa!

                      THE END

(Pour ceux qui n'ont pas compris ,le tueur n'avais pas de jambes donc elle mettais un coude du bras droit pour avancer (Pom !)L'autre coude (Pom)et le tuer tiras l'autre partie de son corp(Tchyyy)

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#677 Le 11-05-2013 à 23h07

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c est l'histoire de ....

A SUIVRE AU PROCHAIN NUMÉRO !!/static/images/forum/smilies/ham-mdr.gif/static/images/forum/smilies/ham-mdr.gif/static/images/forum/smilies/ham-mdr.gif/static/images/forum/smilies/ham-mdr.gif

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#678 Le 12-05-2013 à 10h39

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Un soir,une mère dit à ses enfants:" cette nuit,je ne serai pas là.Fermez les volets,et couchez vous tôt."
Le
soir,comme prévus,les enfants ferment les volets,et vont se coucher
tôt.Or,ce soir-là,en allant chercher leurs pyjamas dans l'armoir...
Le 1° ouvre l'armoir,et se fait tué.Tous assiste à la scène.
Le 2° tente sa chance.Il se fait égorgé aussi.
Le 3° essaye d'attraper le couteau mais ratte son coup.Mort à son tour.
Le
4°,plus malin,arrive à couper 2 doigts au criminel en lui prenant son
couteau.Il prend donc son pyj',ferme l'armoir à clef et va se coucher
(ne me demander pas comment il fait xD)

Le lendemain,Il voit que l'armoir est ouverte. Alors,il decsant prendre son p'tit dèj',et dit à sa mère:
"Mes frères et soeurs se sont fait tués hier soir."
Sa mère le regarde et lui dit: "Tu me passe la carafe?"
Et là,l'enfant s'aperçoit qu'il manque 2 doigts à sa mère.

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#679 Le 12-05-2013 à 10h42

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mdr ton histoire
/static/images/forum/smilies/coeur.gif

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#680 Le 12-05-2013 à 10h58

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moi aussi je suis une fan:cro01:

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#681 Le 12-05-2013 à 11h54

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Connaissez-vous l'histoire de Slenderman? Non? Alors laissez moi vous la conter...

Donc deja vous devez savoir, slenderman (Ceci est son nom le plus connu, sinon Il existe sous le nom de 'Der Grosse Man', 'Der Ritter' et beaucoup d'autres) est un etre humanoide au long membres, sans visage definit, de 7 ou 8 pied de haut.
Nous pouvons deja l'appercevoir au temps des Hebreux, ou il nous est depicte en image. Depuis, il a ete revus et tout son mal c'est repete.
Quand il decide de sa victime, il va se presenter a elle de facon implicite ou explicite (la laissant le voir, par mot...) puis, cette victime va souffrire psycologiquement, car partout ou elle va, il la suivera, elle ne le vera pas toujours mais sentire sa presence autour d'elle. La victime aura des nausee, des perte de memoire, de la paranoia, ensuite, quand son etat mentasl sera reduit, il l'enlevera et la torturera avant de l'eventrer.
Il a une preference pour les jeunes de moins de 25 and car il peux les torturer mentalement plus facillement. Malheureusementt, il peut causer des effassement de memoir causant que vous ne vous rapelliez plus de l'avoir vu, mais lui ne vous oubliera jamais.


(Spoiler: Une image prise de lui, par hasard, la photograph disparu 5 ans plus tard. Il a ete retrouve eventre, dans une foret non loin de chez lui.)

Spoiler (Cliquez pour afficher)



Si vous etez sous son emprise, bonne chance, personne ne lui a echape.
(Pour plus d'information le concerant, visiter le SCP organisation, il vous dirons avec plus de details ce qu'il est, ainsi que des facons d'eviter de le voir pour la premiere fois. Faitez egalement gaffe A 'Bundle' et aux autres creatures.)

XXX

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#682 Le 12-05-2013 à 12h33

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Coucou, j'ai une histoire ( dsl pour les fautes )

Alors , aujourd'hui, les parents de LiLi vont sur une brocante , LiLi trouva une jolie Poupée blonde avec des belle boucle, la Poupée disait tout le temps 2,2,2,2,2... avec la tête qui se balance sur le côté, les parents de LiLi achète alors la Poupée.
En rentrant à la maison, c'étaithl'heure daller dormir, LiLi fait alors un bisous à sa poupée et ensuite à sa mère.
Le lendemain matin , sa mère découvre sa fille morte en 10 morceaux ... Et vu la Poupée qui disa en balançant la tête 3,3,3,3,3,3 ...



Voilà c'était mon histoire , merci

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#683 Le 19-05-2013 à 12h29

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Coucou ! Wahou, il date ce topic. Merci pour vos histoires /library/php/forum/views/smilies/smile.png

Cyanide' : Terrifiant ! Mais évites les images s'il te plait, je n'ai pas cliqué sur le spoiler et je ne préfères pas ._.

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#684 Le 19-05-2013 à 13h13

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moi j'ai peut des histoir de peur

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#685 Le 19-05-2013 à 13h40

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bonjour /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

bon j'ai une histoire qui fais  drolement peur /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

BIENSUR JE SAIS PAS SI SES VRAIS !!!!! BONNE CHANCE

Au tout debut de l'anneé au collège vercors !!! une fille dont on connaissez à peine vient de venir au collège,elle etais byzarre et toute pâle elle lisez tout le temps et travaillez pas du tout mais pas du tout ... Elle pleurais tout le temps dans un coin et oubligé à la prof de sortir de cour et aller dans le couloir quad un crétin et sortie du cours car il fesais l'imbecille avec les filles etc ..... cette fille disez des chose qui etais étrange dont le garçon etais en trin d'écouteé elle disais ^TOI JE TE CONNAIS PAS MAIS JE VAIS TE TUÉ ÉVITE DE ME DIRE POURQUOI,ARRÈTE,OU QUOI DE CE SOIS JE TE TUERAIS AVEC TOUT TES COPAIN/COPINE DANS VOTRE CLASSE PIGÉ^ LE GARçON DISAIS ^TU CROIT QUE TU ME FAIS PEUR AVEC TES MENACE JE VAIS ME DIRE À LA PROF ET CE SERA TEMPIE POUR TOI SALE INCONNUE^ la file ce leva et partie,le garçon et allez voir la prof /library/php/forum/views/smilies/hmm.png/library/php/forum/views/smilies/hmm.png en pleur en disant madame !!! la prof disas ^qua-tu arrivé mon garçon !!!^ le garcon repondit et dit ^cette fille étrange,byzarre, ma hanteé avec peur !!! tout le monde rigolais !!!...... Ensuite le lendemain matin  la fille etais plus là mais le garçon si !!! il et venu tout bizarre et aller en haut du haule et sauta de haut et en tout il il ...... ses SUICIDERRRR /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif/static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif/static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif TOUT LE MONDE CRIER CRIER AVEC PEUR DEPUIS CE JOUR tout le monde ce parler plus plus jamais !!!!!!


si vous aver lu cette histoir ben faite attention quand meme /library/php/forum/views/smilies/hmm.png /library/php/forum/views/smilies/roll.png /library/php/forum/views/smilies/neutral.png


bonne journeé de peur /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

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#686 Le 19-05-2013 à 14h03

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Il est bien ce topic  ! :p J'adore !

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#687 Le 19-05-2013 à 14h14

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Bonjour connaissez vous l'histoire du sourire d'ange?? Je vais vous la raconter, et je préfere vous signaler qu'elle existe!!
C'est des personnes qui sorte la nuit tombé pour aller en boite, ou n'importe où et un homme accoste une jeune femme (n'importe la quelle) et lui sourit et demande à la femme de sourire également si elle refuse il lui coupe avec un couteau les coins des lèvre et quand la femme a peur elle cri et la coupure s'agrandi et monte jusqu'au oreille se qui fait un sourire d'ange, par contre si elle accepte de sourire l'homme lui dit que se n'est pas assez et l'emmene dans sa cave l'éventre, lui met une tonne de sel dans le ventre et l'enferme. Et la femme meurt en douleur et souffre avec le sel qui lui brule a l'interieur des boyaux jusqu'a sa qu'elle meurt pendant 2 jours enfermer dans cet cave!!! Sa fait peut etre pas peur mais si sa vous arrivait c'est la pire torture de vous faire souffrir au lieu de directement mourrir! Tandis qu'au sourire d'ange, vous ne mourrez pas, par contre vous souffrez terriblement, et les medecin vous recout les déchirure!
Donc ne sortez pas la nuit tomber!!
Pour ceux qui n'ont pas peur taper sur google "sourire de l'ange" et vous verez des victime!!
/library/php/forum/views/smilies/wink.png

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#688 Le 19-05-2013 à 15h22

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Les hommes aussi peuvent lécher

Une jeune femme doit passer la nuit seule dans sa maison avec pour seule compagnie son petit chien fidèle. Peu de temps avant de se coucher, elle entend un bulletin à la radio, qui annonce qu'un fou dangereux c'est évadé de l'asile tout proche. Pendant son sommeil, il lui semble entendre des bruits étranges provenant de la salle de bain. Elle tend une main au-dessous du lit, afin de vérifier si son chien est bien à côté d'elle.
Elle attend, inquiète.
Enfin, son chien lui répond par une lèche affectueuse sur la main.
Le lendemain matin, la jeune femme va dans la salle de bain, et y trouve son chien, égorgé. Sur le miroir, il y était écrit : " Les hommes aussi peuvent lécher. "
Elle tourne ensuite la tête vers le couloir.
On n'entendit alors plus jamais parler d'elle...
Fin.

Dernière modification par xLalou (Le 19-05-2013 à 15h38)

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#689 Le 19-05-2013 à 15h32

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Je viens te chercher !

Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée. Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.

Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :

« Floppy ?... Floppy ?... Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »

Mais Floppy n'arrivait pas.

Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :

« Floppy ? ... Allez mon p'ti chien ! Tu t'es caché où ? »

Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :

« Allo ?

- ...

- Allo ? C'est qui ?

- Ca va Aurélie ?

- Heu… vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?

- Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »

- Quoi !

- Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.

- Vous avez fait du mal à Floppy ?

- Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»

Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.


Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !

« Floooppyyyyyy ! Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »

Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait.

Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.

Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.


Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.

Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.

Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.

La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.

« Ce n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ?

- Heu… n... heu... n... non.

- Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !

- Vous… vous… allez... ! Non, j'… j'ai… j'ai peur !

- Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !

- ...

- Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien !

- Quoi ! Ne faites pas de mal à Floppy, il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »

Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.

La voix à l'autre bout du fil reprit :

- Tu sais Aurélie ?

- Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy !

- Je suis au premier étage maintenant ! »

Aurélie fut prise d'une énorme montée de panique : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.

Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.

Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.

Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.

Et le téléphone continuait de sonner...

Et le téléphone n'arrêtait pas de sonner...

Et la sonnerie continuait, entêtée, obstinée...

Et la sonnerie devenait insupportable !

Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil, la même voix sinistre reprit :

« Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ? »

Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.

« Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »

La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage ! Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion unique pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.


Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son : C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit chien était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.

Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte, Floppy gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.

« Bouh ! Floppy... Hmmm… hmmm… hmmmph… je vais te détacher mon petit chien… oh ! mon petit chien... »

Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si… si… s'il avait vraiment été dans… l'escalier, pourquoi il...


- JE SUIS DERRIÈRE TOI !

Fin.

Dernière modification par xLalou (Le 19-05-2013 à 18h19)

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#690 Le 19-05-2013 à 16h34

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bonjour moi j en ai plein d histoire dans ma tête mais je m en r appelle plus ...
pouvez-vous me dire comment mètiez-vous dans banderoles sur les messages ??
et lancer-mopi des défis si possible !!!!!/static/images/forum/smilies/ham-07.gif

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#691 Le 19-05-2013 à 16h35

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xLalou a écrit :

Je viens te chercher

Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée. Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.

Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :

« Floppy ?... Floppy ?... Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »

Mais Floppy n'arrivait pas.

Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :

« Floppy ? ... Allez mon p'ti chien ! Tu t'es caché où ? »

Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :

« Allo ?

- ...

- Allo ? C'est qui ?

- Ca va Aurélie ?

- Heu… vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?

- Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »

- Quoi !

- Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.

- Vous avez fait du mal à Floppy ?

- Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»

Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.


Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !

« Floooppyyyyyy ! Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »

Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait.

Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.

Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.


Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.

Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.

Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.

La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.

« Ce n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ?

- Heu… n... heu... n... non.

- Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !

- Vous… vous… allez... ! Non, j'… j'ai… j'ai peur !

- Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !

- ...

- Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien !

- Quoi ! Ne faites pas de mal à Floppy, il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »

Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.

La voix à l'autre bout du fil reprit :

- Tu sais Aurélie ?

- Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy !

- Je suis au premier étage maintenant ! »

Aurélie fut prise d'une énorme montée de panique : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.

Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.

Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.

Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.

Et le téléphone continuait de sonner...

Et le téléphone n'arrêtait pas de sonner...

Et la sonnerie continuait, entêtée, obstinée...

Et la sonnerie devenait insupportable !

Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil, la même voix sinistre reprit :

« Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ? »

Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.

« Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »

La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage ! Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion unique pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.


Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son : C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit chien était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.

Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte, Floppy gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.

« Bouh ! Floppy... Hmmm… hmmm… hmmmph… je vais te détacher mon petit chien… oh ! mon petit chien... »

Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si… si… s'il avait vraiment été dans… l'escalier, pourquoi il...


- JE SUIS DERRIÈRE TOI !

Fin.
ouaou tout ce que tu as ecrit !!!! sa doit faire mal a la main !/static/images/forum/smilies/ham-10.gif

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#692 Le 19-05-2013 à 17h02

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mon histoire est :

un jour les parents de lea lui disent :
_ce soir nous parton a un spectacle donc tu te feras ton repas .
le soir venu les parents dirent au revoir a lea et partirent .
lea fi donc sont repas mais en épluchant une carotte elle  s écorchât le pouce et du sang tombi par terre . elle prit un éponge mais le sang ne s effaça pas , alors elle forca,forca mais le sang resta toujours sur le sol , quand d soudant le téléphone retentit . elle décrochât :
_allo ?
_essuie vite cette tache sinon j arrive!
_...
_ je suis au 1 ere étage ! cria la voie .
_qui êtes vous ?
_je suis au 2eme étage !
_qui êtes vous bon sang, insista t elle . ( lea habite au 4 etages )
_je fini le 2 eme étages !
de peur elle racrochat mais le téléphone retentit de nouveau et décrochât:
_dépêche toi d essuyer cette tache !! je suis au 3eme etages !
elle lessa le haut-parleur et alla ce réfugier dans la cuisine en essayant d effacer la tache , elle frota,frotta et au bout d un moment elle n avait plus de savon et etait angoisser ! le téléphone disait
_je suis au 4 eme étages
elle angoissa de plus en plus  et le téléphone disait :
_je suis devant ta porte !
et la la porte s ouvrit et un gros monsieur habiller comme les marseillais et la et cria :
_TIEN UN SAVON DE MARSEILLE !!!!!!!!!

bon ce n est pas vraiment une histoire qui fait peur mais elle est marrante ! /static/images/forum/smilies/ham-mdr.gif

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#693 Le 19-05-2013 à 17h28

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Moi j'ai une histoire :

Maman de lucie : vas acheter du porc à la boucherie !
Lucie alla à la 1ere boucherie:fermée
Elle alla à la 2eme boucherie:fermée
Et la 3eme :fermée
Elle rentra triste de ne pas avoir pu acheter du porc...
Sur le chemin du retour, elle voyait un petit cochon et elle le tua avec son couteau suisse et ramena le cochon à sa mère et elle dit qu'elle l'avait acheté le cochon à la boucherie.
Ils mangent le cochon et Lucie va se coucher. Puis elle entend:Lucie, je suis dans ta ville.
Elle croya que son imagination lui jouait des tours.Puis, elle entendit à nouveau : Lucie, je suis dans ta rue.Lucie, je suis dans ton immeuble.Lucie, je suis au RDC . Lucie, je suis au 1ère étage. Lucie, je suis au 2ème étage. Lucie, je suis au 3ème étage. Lucie, je suis au dernier étage. Lucie, je suis dans ton appartement. Lucie, je suis dans le couloir. Lucie, je suis dans ta chambre. Lucie, je VAIS TE TUER !
La ère de Lucie entendit un cri. Elle entra dans la chambre de Lucie et elle la retrouva démembrée, dans un bain de sang...

2ème histoire :

Camille se réveilla tous les matins à 7h par un bruit sourd qui venait du mur de sa chambre. Elle le dit à sa mère mais lui dit que son imagination lui jouait des tours. Puis au bout d'une semaine, sa mère commençait à être perplexe... Alors, elle dormit avec sa fille Camille et entenda aussi un bruit sourd. Elle appela la police. A 6h30,  la police venit et à 7h ils entendirent tous le bruit sourd... La police coupa le mur et il y avait un petit garçon mort qui était accroché et tous les jours à 7h du matin, il balançait sa tête contre le mur...

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#694 Le 19-05-2013 à 17h59

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44kimou5 a écrit :

xLalou a écrit :

Je viens te chercher

Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée. Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.

Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :

« Floppy ?... Floppy ?... Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »

Mais Floppy n'arrivait pas.

Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :

« Floppy ? ... Allez mon p'ti chien ! Tu t'es caché où ? »

Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :

« Allo ?

- ...

- Allo ? C'est qui ?

- Ca va Aurélie ?

- Heu… vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?

- Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »

- Quoi !

- Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.

- Vous avez fait du mal à Floppy ?

- Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»

Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.


Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !

« Floooppyyyyyy ! Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »

Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait.

Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.

Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.


Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.

Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.

Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.

La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.

« Ce n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ?

- Heu… n... heu... n... non.

- Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !

- Vous… vous… allez... ! Non, j'… j'ai… j'ai peur !

- Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !

- ...

- Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien !

- Quoi ! Ne faites pas de mal à Floppy, il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »

Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.

La voix à l'autre bout du fil reprit :

- Tu sais Aurélie ?

- Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy !

- Je suis au premier étage maintenant ! »

Aurélie fut prise d'une énorme montée de panique : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.

Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.

Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.

Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.

Et le téléphone continuait de sonner...

Et le téléphone n'arrêtait pas de sonner...

Et la sonnerie continuait, entêtée, obstinée...

Et la sonnerie devenait insupportable !

Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil, la même voix sinistre reprit :

« Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ? »

Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.

« Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »

La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage ! Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion unique pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.


Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son : C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit chien était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.

Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte, Floppy gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.

« Bouh ! Floppy... Hmmm… hmmm… hmmmph… je vais te détacher mon petit chien… oh ! mon petit chien... »

Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si… si… s'il avait vraiment été dans… l'escalier, pourquoi il...


- JE SUIS DERRIÈRE TOI !

Fin.
ouaou tout ce que tu as ecrit !!!! sa doit faire mal a la main !/static/images/forum/smilies/ham-10.gif

Pas tant que ça...un p'tit copier/coller par ci, un petit copier/coller par là...c'est vite terminé ! /library/php/forum/views/smilies/tongue.png

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#695 Le 19-05-2013 à 19h57

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Sa fait assez peur les histoires , J'ai jetté un coup d'oeil je croit que je vais ADORER ce topic ! :p

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#696 Le 19-05-2013 à 19h58

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Je vis dans ma maison depuis bientôt 18 ans.
Je n'y avait jamais rien vu de terrifiant ou de morbide. Une simple maison dans un petit village sans histoire. Un jour alors que je me trouvais avec ma meilleure amie nous sommes allées dans ma cave, pour aller chercher à boire dans le congélateur. Cette cave est formée de 3 pièces les unes derrières les autres et toutes reliées par des portes. C'est alors qu'elle me fit remarquer qu'elle n'était jamais allée dans la pièce du fond. La dernière.
Etant la seule pièce où il n'y avait pas de lumière je n'y était entrée que 1 ou 2 fois dans ma vie. Nous décidâmes alors, et bien que certaines nous n'avions peur de rien (à notre âge) nous nous serrions l'une contre l'autre. Nous avions des lampes de poche et en entrant nous regardâmes de tous les côtés. Cette pièce ne comportait que de la terre et de vieux rouleaux de fils de fer. C'est alors que soudain elle me fit remarquer un renfoncement dans la terre sur notre droite.
Ce trou avait a peu près la forme d'une baignoire, nous nous en approchâmes et elle tapa dessus avec son pied, c'est alors que celui-ci passa à travers une planche. Mortes de peur nous fîmes demi-tour et nous allâmes prévenir mes parents. Mon père parut étonné et avec mon voisin ils décidèrent d'aller creuser et de voir ce qui se trouver sous cette planche moisie par le temps. Au bout de quelques minutes à leurs grandes stupéfaction, ils découvrirent un très vieux cerceuil. Evidemment ils décidèrent de ne pas l'ouvrir et fîrent venir le maire du village. Celui-ci nous dit qu'il allait se renseigner après avoir fait enlever le cerceuil. Quelques jours plus tard nous apprîmes que la personne qui était enterrée là était une jeune femme d'une vingtaine d'années qui avait disparu dans les années 20 à trentes kilomètres de chez moi. Après avoir fait quelques recherches sur elle nous apprimes ainsi que cette jeune femme nommée Marise Mourgues avait disparu très peu de temps avant son mariage. Après que des medecins légistes l'eurent examiné, nous apprimes que tous les os de son corps avaient été fracturés à vif avant qu'un objet lourd ne lui fracasse le crâne. Je ne savais pas que la medecine d'aujourd'hui pouvait nous permettre d'apprendre tout ceci sur un cadavre vieux de plus de 80 ans. Ainsi j'avais vécu 18 ans au dessus d'une jeune femme qui avait été torturée à mort.
Si je peux vous donner un conseil, avant d'acheter une maison, vérifiez si aucun cadavre ne gît sous vos pieds!

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#697 Le 20-05-2013 à 09h58

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xLalou a écrit :

Je viens te chercher !

Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée. Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.

Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :

« Floppy ?... Floppy ?... Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »

Mais Floppy n'arrivait pas.

Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :

« Floppy ? ... Allez mon p'ti chien ! Tu t'es caché où ? »

Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :

« Allo ?

- ...

- Allo ? C'est qui ?

- Ca va Aurélie ?

- Heu… vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?

- Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »

- Quoi !

- Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.

- Vous avez fait du mal à Floppy ?

- Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»

Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.


Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !

« Floooppyyyyyy ! Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »

Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait.

Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.

Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.


Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.

Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.

Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.

La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.

« Ce n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ?

- Heu… n... heu... n... non.

- Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !

- Vous… vous… allez... ! Non, j'… j'ai… j'ai peur !

- Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !

- ...

- Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien !

- Quoi ! Ne faites pas de mal à Floppy, il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »

Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.

La voix à l'autre bout du fil reprit :

- Tu sais Aurélie ?

- Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy !

- Je suis au premier étage maintenant ! »

Aurélie fut prise d'une énorme montée de panique : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.

Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.

Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.

Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.

Et le téléphone continuait de sonner...

Et le téléphone n'arrêtait pas de sonner...

Et la sonnerie continuait, entêtée, obstinée...

Et la sonnerie devenait insupportable !

Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil, la même voix sinistre reprit :

« Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ? »

Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.

« Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »

La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage ! Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion unique pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.


Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son : C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit chien était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.

Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte, Floppy gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.

« Bouh ! Floppy... Hmmm… hmmm… hmmmph… je vais te détacher mon petit chien… oh ! mon petit chien... »

Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si… si… s'il avait vraiment été dans… l'escalier, pourquoi il...


- JE SUIS DERRIÈRE TOI !

Fin.
Je la connait!! tu as du faire copier coller sur internet!!

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#698 Le 20-05-2013 à 10h25

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Il font peur les histoires /static/images/forum/smilies/cromimi-aaah.gif

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#699 Le 20-05-2013 à 10h32

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mimi-rongeur a écrit :

Bonjour connaissez vous l'histoire du sourire d'ange?? Je vais vous la raconter, et je préfere vous signaler qu'elle existe!!
C'est des personnes qui sorte la nuit tombé pour aller en boite, ou n'importe où et un homme accoste une jeune femme (n'importe la quelle) et lui sourit et demande à la femme de sourire également si elle refuse il lui coupe avec un couteau les coins des lèvre et quand la femme a peur elle cri et la coupure s'agrandi et monte jusqu'au oreille se qui fait un sourire d'ange, par contre si elle accepte de sourire l'homme lui dit que se n'est pas assez et l'emmene dans sa cave l'éventre, lui met une tonne de sel dans le ventre et l'enferme. Et la femme meurt en douleur et souffre avec le sel qui lui brule a l'interieur des boyaux jusqu'a sa qu'elle meurt pendant 2 jours enfermer dans cet cave!!! Sa fait peut etre pas peur mais si sa vous arrivait c'est la pire torture de vous faire souffrir au lieu de directement mourrir! Tandis qu'au sourire d'ange, vous ne mourrez pas, par contre vous souffrez terriblement, et les medecin vous recout les déchirure!
Donc ne sortez pas la nuit tomber!!
Pour ceux qui n'ont pas peur taper sur google "sourire de l'ange" et vous verez des victime!!
/library/php/forum/views/smilies/wink.png
J'ai oublié aussi de vous raconter le coup de la cravate qui existe également!!
Enfete en sortant de boite la nuit un homme vous prend et vous emmene dans un endroit obscure où il n'y a personne et vous tranche le haut de la gorge et y met sa main pour vous attraper la langue et la tendre a l'ouverture de la gorge! Et sa vous fait la cravate!! Vous pouvez également trouver une image d'une victime sur google image!!

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#700 Le 20-05-2013 à 10h55

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Celle de l'ange et de la cravate ne me font pas du tout peur ! J'ai seulement trouvé l'image du sourire de l'ange...j'étais morte de rire !!/library/php/forum/views/smilies/tongue.png

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